LE PASSSEUR

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Professeur Bernard Herzog - Médecine et Thérapies du Futur Connaissances et recherches pour améliorer Votre Santé et Votre Vie


Vous n’avez plus la libre disposition de votre corps

Publié par lepasseur-therapeute-herzog.over-blog.org sur 15 Octobre 2010, 21:31pm

Catégories : #Sociologie

4741442713_43159c0eab.jpgDe plus en plus, on vous impose de nouvelles règles sur la manière de vivre. Vous devez ressembler étrangement et avoir les mêmes dispositions que votre voisin sinon vous êtes considéré comme des sujets de mauvais aloi, relevant donc de l’inquisiteur pour être purifiés par le feu du bûcher, du moins de la Justice. Rassurez-vous, ce n’est guère déplaisant, on ne se fait rôtir qu’une fois.

Vous pensez que ce que je viens d’écrire est ridicule. Cependant, vous le savez, pour le bien de votre santé, vous devrez suivre des règles bien précises afin d’obtenir des remboursements de votre caisse d’assurance maladie ; à défaut, vous serez désavoué et contraint de payer de votre poche !

Plusieurs patients se plaignaient d’être appelés au téléphone vers 20 heures, par une secrétaire du centre de traitements des cancers, pour avoir à effectuer tel examen systématique, tel contrôle… ou devoir subir une intervention. « Ça me rappelle la Gestapo et les mauvaises heures du passé », m’ont confié quelques anciens. Cela a un autre nom désormais, plus « soft » : c’est « le suivi médical », on s’occupe en effet très bien de vous !

Le contrôle périodique des véhicules est obligatoire. Eh bien, maintenant, on va vous obliger à faire contrôler régulièrement votre carcasse suivant des dispositions légales, suivant des dispositions précises desquelles peu importe comment vous en sortirez pourvu que vous l’ayez fait. Ainsi vous serez de très bons citoyens. Et ne réfléchissez surtout pas aux conséquences des sauces radiogènes ou autres sur votre organisme…

Rassurez-vous, comme disait jadis tout bon seigneur : "mes paysans sont taillables et corvéables à merci !" Sous de nouvelles manières, nous le devenons. Vous n’avez plus la libre disposition de votre corps.

 

Désinformation et propagande

On vous rebat les oreilles, on vous inonde d’informations, on vous rabâche que nous vivons dans une société saine, alors qu’elle est polluée en tous points de vues ! La tuberculose est en train de revenir. La revue

La Recherche

On vous dit que, selon les règles d’hygiène appliquées et décrites dans les beaux manuels administratifs, tout est propre ! Alors que jamais l’alimentation n’a été aussi dénaturée et toxique, comme les champignons radioactifs importés de Bulgarie, les poulets à la dioxine, le boeuf aux hormones et les céréales aux OGM.

Dans tous les domaines de notre savoir humain, un mensonge mille fois répété devient une forteresse imprenable.

Que pensez-vous du bon sucre qui dynamise les sportifs ? Sa consommation est vivement encouragée ! Même un professeur de nutrition soutient vivement son usage tandis que, parallèlement, l’OMS tire la sonnette d’alarme sur l’extension, bientôt exponentielle, des obésités, des maladies immunitaires, des diabètes, bref de maladies ayant rapport avec une nutrition assez aléatoire.

Il en est de même pour le bon caramel. Les conseillers ne sont pas les payeurs, mais certains professeurs et nutritionnistes avertis encouragent ces consommations, en ignorant parfaitement ce qui se passe au niveau de la biochimie enzymatique cellulaire. Eh oui, le caramel constitue un véritable bitume qui empoisonne les cellules hépatiques, entre autres.

 

Que faut-il penser du lait pasteurisé qui a été porté à une certaine température avant d’être refroidi brutalement, que sont devenues les protéines dans ce lait ? Je vous le demande. Est-ce que les bactéries sont capables de survivre au-delà de 100°C ou à moins 30°C ? Les revues scientifiques nous apprennent qu’il y a des bactéries qui vivent à basse température et d’autres qui survivent parfaitement à des préchauffages qui prétendument pasteurisent mais qui en fait détruisent la tenue protéinique des laits, lesquels, de surcroît, restent en attente dans les chaînes de supermarchés, quelquefois plusieurs semaines.

Que faut-il penser des bonnes vaccinations ? Fernand Delarue et bien d’autres ayant une plus grande expérience que moi ont publié à ce sujet

Quant aux bons médicaments, le Dr Bruno Donatini leur a consacré un livre3

J’ajouterais seulement le fruit de quelques observations personnelles.

Fernand Delarue, l’intoxication vaccinaleéditions Le Seuil. Dr Bruno Donatini, l’intox et les Vaccinations éditions MIF, 40, rue du Dr Roux, 51350 Cormontreuil.

 

Les spécialistes de la procréation nous informent : actuellement, une femme sur cinq doit avoir une fécondation assistée pour réussir à procréer. On n’envisage pas les problèmes de culpabilité ou les raisons psychologiques qui ont entraîné cette situation ni les habitudes nutritionnelles désastreuses qui ont entraîné cet abaissement non seulement de la fertilité mais aussi de la résistivité des sujets.

On ne pense pas non plus aux risques de la fécondation artificielle. Pour avoir observé quelques mélanomes comme fruits secondaires, je me permets de poser la question suivante : est-il sans risque d’inonder un organisme de protéines étrangères ou d’hormones qui bloquent tout l’axe endocrinien ?

La désinformation organisée ou l’absence d’information tout court sont des faits qui s’observent en vieillissant. L’information a été masquée, déformée ou tronquée et on emploie de fausses statistiques Dans le domaine médical, les études sont financées par les laboratoires et, si on lit un peu en langue étrangère, on s’aperçoit que des chiffres donnant des statistiques opposées n’ont pas été relatés, ou n’ont pas été pris en compte, bref, en fonction des pays et des frontières, on vaccine ou on ne vaccine pas. Le BCG ou certaines vaccinations sont très contestées dans d’autres pays.

 

Quels sont les responsables ?

On retrouve un grand nombre de docteurs à la tête des laboratoires. Le système commercial de désinformation transforme le médecin généraliste en un lampiste dont la culture scientifique dérive directement des représentants venus sans cesse lui bassiner la mémoire afin qu’il prescrive correctement.

Nos responsables politiques n’ont guère le temps de s’informer. Ils s’en remettent à leurs conseillers qui deviennent ainsi des décideurs. Nous sommes dans un système clos où les lampistes n’on rien à dire, en l’occurrence les médecins. Certains intellectuels carriéristes supposent que bientôt un grand ordinateur pourra délivrer des ordonnances en fonction des symptômes !

Pour avoir participé à plusieurs jurys d’internat ou présidé l’un d’eux, j’ai pu assister à la régression totale du sens clinique, du bon sens, de l’écoute et à la valorisation exclusive des QCM (questions à choix multiples), une mode venue d’outre-atlantique qui traduit une schrizophrénisation aveugle collective organisée.

On n’apprend pas à réfléchir en médecine, au contraire ! Le médecin est devenu malgré lui un prescripteur, il suffit d’orienter ses prescriptions en fonction des intérêts de l’industrie pharmaceutique qui affiche, pour certaines firmes, des progressions de 25 à 40 % par an.

"On casse l’homme, on le détruit et certains en profitent", nous disent, dans leurs discours, certains dirigeants politiques.

 

Que font les organisations de consommateurs ?

Savez-vous que les prescriptions médicales sont comptabilisées chez les pharmaciens ? Bientôt ce sera plus facile quand la Sécurité sociale sera informatisée.

Les représentants de laboratoires viennent relancer les médecins pour la vente d’insuline de synthèse qui comporte des molécules d’acides aminés inversés. Elle est très mal supportée par les patients, mais les représentants ont des fiches établies au nom de chaque prescripteur et ils viennent harceler les médecins non prescripteurs. "Vous êtes le seul à ne pas prescrire, dommage parce que…", suit la litanie des avantages habituels qui ne seront pas donnés. Il y a pire : "Nous avons les moyens de vous ennuyer." Aussi on est en droit de se poser la question : il y a donc un Etat dans l’Etat. Que font les écologistes et les sociétés de consommateurs face à cette situation ? Ils dorment et nos responsables élus sont-ils devenus aveugles ?

Non content de boire des eaux plus que douteuses, on ose asphyxier nos terres sous un épais manteau de lisier, de défécations de porcs, qu’ils soient sains ou pas peu importe, c’est ainsi qu’on sera sanitraté et sain de bactéries, donc d’épidémies ! Car, en recouvrant la terre sous un épais manteau de déjections animales, au lieu de l’engraisser, on l’asphyxie, on prépare ainsi de petites bactéries qui vont s’enfoncer, se glisser à travers les eaux de ruissellement. Et on les retrouvera ultérieurement dans notre assiette.

On va pouvoir décrire de nouvelles épidémies ou des formes mutantes. Alors on pourra devenir de bons cobayes pour nos laboratoires. Nous sommes des capitaux à faire fructifier et, en effet, les chiffres d’affaires ne cessent de croître.

A ce régime, dans quelques années, on ne sera plus six ou sept milliards d’individus mais peut-être moitié moins !

Dans son livre

De l’esclavage et de la liberté de l’homme,

Nicolas Berdiaev écrivait : "Les atteintes les plus révoltantes commencent toujours par frapper le corps." On affame, on frappe, on tue avant tout le corps, pour atteindre, à travers lui, l’homme tout entier. Et cela parce que l’esprit ne se laisse ni affamer, ni torturer, ni tuer directement.

Bernard Herzog

avance le chiffre d’un milliard de tuberculeux dans les vingt années qui viennent.

 

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