Nos humeurs et notre choix de vie dépendent de notre alimentation La qualité de notre nutrition, c'est-à-dire celle des aliments ingérés est le premier élément qui va nous permettre de déterminer nos choix de vie ainsi que les possibilités d’un cheminement physiologique aisé du bol alimentaire dans le tube digestif. Selon les choix sélectifs de chacun dans la manière de se nourrir, correspond une évolution par rapport à la physiologie digestive et un mode relationnel : le bien-être intestinal.
L’être humain n’est pas un simple carnivore ni un herbivore, ni un céréalivore exclusif.
L’homme est un omnivore capable de diversifier l’ensemble de la composition de son
alimentation au travers, non seulement de ses envies, de ses humeurs, mais également de ses carences provoquées, de ses carences gracieusement transmises par son ascendance. Jane Goodall une autorité scientifique mondialement reconnue le confirme dans un ouvrage
Chaque type d’alimentation peut générer des déficiences hormonales lesquelles vont s’inscrire par la suite sur les chaînes ADN et ARN de base. Cela va induire au niveau des chromosomes un ensemble de déficiences qui peuvent générer une périodicité mutagène, non seulement progressive, mais également saccadée ou intermittente.
Sur ces transmissions, souvent gracieusement offertes par l’ascendance, vont s’ajouter celles de nos modes de vie, de nos modes de communication, de nos modes relationnels notamment affectifs.
Par la suite, chacun va emporter dans ses bagages, son histoire et ses affections
enchanteresses voire négatives. Une opération imaginaire, plus ou moins plausible, plus ou moins cocasse va se calquer au travers de cet ensemble. Les affections traumatiques, sans compter les violences qui peuvent survenir à chaque pas dans la vie de chacun constituentl’évènementiel.
Gérer sa propre histoire, c’est à dire « digérer » sa propre vie, n’est en fait qu’une
problématique de sa propre connaissance qui reste en permanence dans et sur l’estomac de chacun d’entre nous. Soit on embellit, soit on avilit aussi bien son passé que son présent, parce que pour digérer ce passé imaginaire, on ne parvient pas à le liquéfier, donc à lui donner la forme nécessaire pour l’éliminer, à le fécaliser en un mot.
Tant qu’il n’est pas fécalisé, on peut dire qu’il « reste sur le jabot », sur l’estomac d’un bon nombre de sujets. Ils n’arrivent nullement à s’en débarrasser, aussi on va observer par la suite, une série de maladies ou des ennuis digestifs, des maux conditionnés par les excès d’acidité gastrique qui vont favoriser la multiplication de certains virus, (papilloma-virus) ou de petites bactéries acidifiantes (helicobacter) lesquelles vont se permettre de créer un dysfonctionnement hépatique par déséquilibre de PH, soit un disfonctionnement des humeurs intestinales.
Papilloma-virus et helicobacter font le lit du cancer de l’utérus et de l’estomac, ils se
développent sur terrain acide.
Thème évoqué dans « le transgénique » (2000) et « les 7 fléaux » (2003) Edition Du Cram Montréal
Avant d’engager un diagnostic clinique, il serait nécessaire de bien effectuer une évaluation de ce qui est resté lié à l’assiette, à la composition des aliments de chacun dont on aime à se régaler. On trouve des réalités d’humeurs exprimées dans les expressions populaires :
« Ça me reste dans la gorge »
« J’en ai gros sur l’estomac »
« Ça me fait chier »
« Les gens les plus constipés sont ceux qui nous emmerdent le plus »
« Je ne peux le digérer »
« Ça me fait dégueuler»
Toutes ces expressions véhiculent de réelles vérités d’observation.
On peut classer les différents excès en trois types : excès carnassiers, excès céréaliers ou
excès de végétarisme (herbivores).
Les excès carnassiers génèrent 75 % de produits ammoniaqués en excès, lesquels induisent des flatulences, une incapacité des voies intestinales à les assimiler. Cela fatigue le sujet, entraîne de l’agressivité mais aussi l’impossibilité d’assimiler l’intégralité des éléments nécessaires. La matière alimentaire vivante, comporte des agréments biochimiques lesquels vont être travaillés par les différents acides hépatiques, les différentes diastases. L’acidité intestinale et hépatique va amener le rejet d’une quantité d’acides aminés donc non assimilés.
On aura des excès de bile dans les excès colériques ; des excès d’humeurs chagrines,
mystiques ou d’humeurs variables dans les excès d’eau, donc des insuffisances ou des excès d’acide urique. Ces sujets sont très peu créatifs, ils finiront par l’être en achevant de s’empresser de plus en plus et de se perdre dans les détails. Ces excès génèrent des violences, mais également des situations psychologiques telles que la peur, les craintes, les angoisses.
Les sujets angoissés s’emportent, pour agir d’une façon violente. Certains vont être sujet à des excès permanents de panique.
Les excès de végétarisme, (les herbivores), conditionnent d’autres carences. Si la viande est nécessaire, manger trop de viande est mauvais pour la santé. Les excès végétariens entraînent également des carences vitaminiques, enzymatiques, hormonales et génèrent des phénomènes semblables voire identiques. Si l’on mange beaucoup de blé ou de millet, on aura des carences et des excès d’eau ; si l’on mange trop de sanglier ou de gibier fermenté, on observe d’autrescarences. Ainsi recopie-t-on les déformations en effectuant la cuisine des grands parents et des parents par exemple les excès de consommation de saccharose ou de corps gras, de lipides.
D’où l’adage classique « Dis-moi ce que tu manges, je te conterai tes maladies ». Tout se retrouve dans l’harmonie de l’assiette, le mode de vie découle de ce que l’on mange, de la composition de nos menus.
Les excès de consommation de céréales : les céréales sont des aliments nécessaires à notre alimentation mais si on ingurgite en grandes quantités des céréales cela va générer une influence protéinique végétale prédominante même si elle est diversifiée, elle n’est pas
négligeable.
Précisons ce que l’on entend par excès de céréales : manger de l’orge, du blé, ou du blé noir, du riz, de l’avoine, du millet, du seigle, ou du sorgos. Certains en absorbent des quantités excessives, certes toutes ces graines apportent des protéines différentes mais leur consommation a des limites !
Ces limites nécessitent en même temps pour équilibrer la ration du sujet une prise alimentaire de plus en plus importante. Il leur faut manger de plus en plus. Le phénomène est semblable à ce qui se passe chez les herbivores, les pachydermes par exemple l’éléphant. Il leur est
nécessaire d’absorber des quantités considérables d’herbes pour assurer leurs rations
caloriques.
Il est bien évident que l’excès de consommation de céréales va générer des évolutions
physiologiques particulières avec des modifications au niveau du tube digestif, œsophage, estomac, intestin, colon mais aussi du système hépatique. Dans les échanges gazeux et
chlorhydriques gastriques ou dans les échanges hépatiques on va avoir des différences, par exemple un PH moins acide au niveau du foie. Les diastases hépatiques seront plus douces, moins acides parce qu’il y a besoin d’une plus grande acidité pour digérer par exemple les protéines carnées.
Tous ces éléments auront des conséquences sur la physiologie osseuse, hormonale et
cérébelleuse. Nous observerons des carences calciques, magnésiques, vitaminiques. Au
niveau du cervelet, on aura une tendance à des mouvements ayant une plus grande souplesse mais en même temps une résistance diminuée par manque de certains acides aminés.
L’organisme a tendance, en raison des carences, à prendre les acides aminés là où ils le
trouvent. C’est pourquoi, ceux qui consomment des excès de céréales ont des squelettes plus fins, ce que l’on observe chez certaines populations par exemple de l’Inde ou du Bengladesh qui consomment uniquement des céréales en excès. Ceux qui consomment essentiellement des céréales et des végétaux ont un système musculaire plus fin, plus fragile. Ceux qui se nourrissent à la fois de céréales, de végétaux et de viande auront un système organique plus équilibré, une ossature plus forte, plus résistante par contre si un des éléments l’emporte, nous observerons encore des excès et des carences qui vont s’inscrire au niveau chromosomique. Il en résultera des déviances génétiques, des déviances chromosomiques.
En cas de conflits, ou de périodes de famines on observe que les maladies secondaires aux excès de richesse alimentaire diminuent au profit de la survie des sujets. Les maladies de la suralimentation sont alors en régression, c’est ce qu’on a observé au cours de la dernière guerre.
Notre Professeur de chirurgie* s’exclamait qu’il ne voyait plus de vésicules à opérer, les lithiases vésiculaires disparaissaient !
Les fruits constituent une nécessité alimentaire tout comme les céréales, les légumes, et les produits carnés. L’équilibre consiste à une excellente harmonisation du tout sans excès de l’un ou de l’autre constituant.
Des idées fausses circulent avec une extrême fréquence :
- « la viande c’est mauvais, il ne faut pas en manger »
- « le végétal n’est pas intéressant, il ne compte pour rien, ce n’est que de l’eau, il faut
mieux s’en abstenir »
* Professeur Chalnot (Nancy)
Une diététicienne écrit « Le sucre raffiné, totalement purifié … est totalement assimilé …etc. » « Choisissez des sucres bruns peu raffinés (les plus foncés possible) » « Choisissez une eau concentrée en magnésium… » par ignorance de la biochimie dans un livre intéressant par ailleurs et d’usage pratique.
Il y a pire : les ayatollahs vétérinaires font joujou avec les OGM au frais des contribuables aussi il est de bon ton de s’incliner devant ces nouveaux génies inconscients des conséquences génétiques qu’ils vont induire.*
Ce sont des facettes d’un certain reniement de soi, parce qu’il faut des compensations aux sont à l’origine de l’obésité, il faut donc pour retrouver l’équilibre, reprendre une activité physique.
Si on absorbe énormément de produits carnés ou si on demeure constamment dans sa
chambre, on va s’arrondir et ressembler à un porcelet !
Une alimentation unique*, est une alimentation de refus de soi-même
Elle constitue un refus de vivre. Il est vrai que certaines personnes assez strictes sont volontiers grégaires et sectaires. On retrouve ainsi des sujets aigris qui se plaignent en permanence. Ils sont critiques envers tout : ils sont devenus associables !
Les excès amènent des allergies, on peut par exemple évoquer les allergies au gluten.
Le gluten est un composant des farines. Il entre dans la composition des céréales, que ce soit la farine de seigle, d’orge, d’avoine, de blé, de millet. Par contre, le riz n’est pas une céréale bien qu’il soit d’origine végétale. Le maïs ne contient pas de gluten, comme le riz. Les allergies au riz ou au maïs, ce n’est pas la même chose ! En fait, ceux qui sont allergiques au riz ou au maïs, sont allergiques à une maladie du riz ou du maïs, c'est-à-dire à une moisissure, alors que dans les céréales, la composition essentielle est dematières amylacées, susceptibles de se modifier par rapport au taux d’humidité. Plus le gluten est humide, plus il va se développer, non pas une moisissure, mais une levure qui va favoriser le développement d’une forme de mycélium. C’est donc une mutation. Le mycélium ingéré va se déposer d’abord dans la cavité buccale ; avec la salive, il trouve un milieu favorable car acide, donc il va se développer, car il est assimilé par cette première diastase, pourrait-on dire : l’amylase. Il va pouvoir se répandre ensuite où il peut se développer, notamment dans les parties oxygénées. Il s’étale dans ces milieux oxygénés, c'est-à-dire dans les parties humides, la gorge, le pharynx, l’œsophage, et l’intestin, puis il va se retrouver en partie dans le sang circulant. Au contact de l’air, il va provoquer une oxydation, donc il va réduire les échanges gazeux et carbonés. Il va littéralement absorber la partie carbonée, c'est-à-dire le gaz carbonique. Donc les tissus vont se trouver en hyper oxydation.
Certains sujets ont une alimentation correcte et présentent cependant des allergies. La
question à se poser est la suivante : l’ascendance a-t-elle respecté la physiologie nécessaire à l’équilibre ?
Les allergies relèvent d’un déséquilibre du fonctionnement hormonal, endocrinien
La même situation s’observe en homéopathie uniciste, elle traduit le sectarisme, l’intégrisme mental… que l’on retrouve chez certains géobiologistes.
On étudie volontiers l’évolution des espèces en fonction du biotope et des conditions de survie mais l’espèce humaine doit également suivre les lois physiologiques ! On observe par exemple depuis des décennies un accroissement de la taille, il faut rechercher d’abord élancé plus il est fragile. C’est un signe de dégénérescence de l’espèce que l’accroissement de la taille résultant généralement des excès de saccharose (évoqué dans le livre « les 7 fléaux »). Le saccharose industriel fera disparaître l’espèce humaine.
Le mode alimentaire doit être associé au but à atteindre.
Le point d’équilibre est essentiel à rechercher parce ce que plus on mange d’une façon
répétitive et sélective, par exemple uniquement du pain ou des pâtes, plus on induit des carences et des phénomènes de dégénérescence. Contrairement à ce que l’on croit, on ne peut pas récupérer, on garde la déficience car elle s’inscrit directement dans les structures protéiniques. On peut stabiliser, mais il y a pas de retour en arrière, aussi la descendance doit elle en subir les conséquences. Le dicton populaire « le grand père boit, le petit fils trinque » est un exemple classique très exact.
Cela signifie que l’alimentation industrielle actuelle génère de nombreuses carences, des insuffisances qui vont induire une mutation organique généralisée et la dégénérescence de l’espèce humaine. Il y aura donc de plus en plus de carences de plus en plus d’insuffisances glandulaires, de fragilités hépatiques, de fragilités osseuses. Avec l’électro-somato-gramme (ou électro-intersicial-scan) on s’aperçoit qu’un grand nombre d’individus ont un fonctionnement hépatique réduit de moitié comme la circulation dans leur système porte, le foie. Le retour des veines sus hépatiques est amputé il y a donc une insuffisance ventriculaire droite, une réduction de l’hématose, une modification de tous les équilibres gazeux.
En conclusion, l’alimentation est un point d’équilibre à rechercher non seulement en fonction des différentes matières ingérés du moins dans ce qui nous est proposé sur le marché.
Cet équilibre doit se retrouver également dans le conditionnement mais aussi dans la
préparation des aliments, dans la manière d’être, dans l’état de ce que l’on en pense. Est-ce une nécessité, est-ce seulement un plaisir ou n’est ce rien ?
, par exemple l’alimentation d’un sportif, d’un marathonien n’est pas celle d’un haltérophile ou d’un cycliste. Dans tous ces cas, l’alimentation est un point d’équilibre à rechercher. Le légionnaire romain devait être un homme trapu, résistant, bien accroché au sol, très résistant derrière son bouclier. Inversement, ceux qui chargeaient à la lance devaient être plus longs et capable de s’allonger sur le dos du cheval pour ne pas donner prise. Les huns étaient très redoutés parce qu’ils faisaient corps avec leurs montures. Ils étaient capables de se déplacer sur le côté du cheval pour ne pas être atteints. Un homme mince bien couché sur le dos d’un cheval est difficile à accrocher.. Les allergies résultent d’une mutation, d’une insuffisance, d’un déséquilibre du fonctionnement hormonal. Près de 50% de la population accusent des allergies, c’est dire leur extrême fréquence.
C’est un tout qui constitue un ensemble. Cet ensemble est constitué par les mondes minéral, végétal, animal aussi bien que par le monde psychique. La conception de l’existence même del’individu conditionne cet équilibre harmonieux ou son déséquilibre.