La maladie d’est une dégénérescence des tissus nerveux encéphaliques. Cette affection a beaucoup d’origines : toutes les pollutions, les divers traumatismes, les vaccinations excessives. Cette dégénérescence cérébrale s’acquière notamment, non seulement par un mode de vie stressant voir nonchalant, mais bien d’autres facteurs vont générer un déficience bactérielle donc protéinique.
Tout le système protéinique cérébral dans cette affection va être totalement ou partiellement carencé. Ce qui signifie que l’on va trouver une bonne douzaine d’étiologies différentes.
En général le diagnostic est rapidement établi parce que le sujet refait systématiquement les mêmes gestes, un grand nombre de fois. Il y a à la fois un manque de confiance mais aussi un manque d’audition c'est-à-dire qu’on entend mais qu’on enregistre plus rien.
Il peut voir les choses, les chercher, et refaire sans cesse les même gestes, par exemple vérifier six fois, vingt fois, x fois si les portes sont bien fermées, si les lumières sont toujours allumées, etc.
Les T.O.C peuvent se transformer en cette affection. Ce sont des manifestations primaires que l’on voit même chez les sujets très jeunes. Par exemple certains vont se laver en permanence toutes les heures, se rincer les mains 100 fois par jour mais la maladie d’Alzheimer n’est pas que ces aspects répétitifs, c’est un problème de dégénérescence handicapant. Le sujet va vérifier trois fois de suite s’il a bien éteint la lumière, s’il a remis la chaise à sa place parce que il n’est pas lui-même en place. On peut dire qu’il s’agit de phobies sans être des phobies, ce sont des dégénérescences progressives qui vont faire que le système protéinique neuronal va se détériorer de la même façon que toute maladie dégénérative du tissu cérébral. Avec la différence cependant que l’on va retrouver en fin d’évolution les sujets incapables de se gérer, d’appréhender la vie. Ils vont finir par s’asphyxier progressivement de l’intérieur par arrêt des fonctions neuro végétatives.
Il y a bien une douzaine d’origines à cette infection. L’une d’entre elles est peu connue mais cependant essentielle : la maladie d’Alzheimer peut être généree par la peur, l’angoisse, les chocs affectifs, les affections sentimentales, les excès sentimentaux mais aussi des alimentations défectueuses carencées.
Dans les étiologies, on retrouve également l’intoxication par les métaux lourds, les vaccinations itératives, effectuées à des dosages excessifs, etc.… La maladie peut être le résultat d’une association de ces différents facteurs : alimentaire, peurs, angoisses, origines sentimentales, passionnelles, chocs traumatiques.
Le sujet reçoit une branche d’arbre sur le crâne, le crâne semble solide, il n’y a pas de lésions radiologiques mais les conséquences du choc peuvent se réveiller très longtemps après. Les conséquences sont souvent immédiates mais la maladie d’Alzheimer ne se développe que progressivement par exemple chez les boxeurs dont le cerveau correspond à la structure du gruyère en raison des hématomes successif qui ont fait de véritables trous dans la structure cérébrale.
Ainsi que l’on le veuille ou que l’on ne veuille pas tous ces chocs traumatiques, affectifs on peut se les représenter comme des rats qui grignotent des sacs de blé du moins la structures neuronale. C’est donc une véritable maladie de dégénérescence. Elle est différente des phobies, car la phobie c’est d’avoir peur de quelque chose, par exemple du serpent, d’une araignée, il ne s’agit en aucun cas, d’une dégénérescence cérébrale, c’est une peur simplement du sujet comme ceux qui s’effraient de la vue d’une souris.
Les mondes bactériels élaborent les protéines, au lieu de se carencer au niveau d’un organe ils vont d’abord dégénérer. Par carence au niveau de la matière neuronale du tissu cérébral d’abord parce que c’est la matière la plus riche, donc la plus fragile. Cette matière va s’oxyder, devenir oxydante, se détruire, c’est pourquoi il est nécessaire de prendre dans l’alimentation des substances anti-oxydantes comme les fruits, les légumes notamment. Dans les cas graves, un peu de potassium est à conseiller afin de refaire le lien avec le magnésium afin de tenter de ralentir les phénomènes et de permettre à ce système de se régénérer du moins d’essayer de le faire. C’est pourquoi il est bon de conseiller à ces malades de prendre au moins six fois la dose de magnésium quotidienne nécessaire et le quart en potassium de la dose habituellement utile, en ajoutant tous les oligo éléments et un peu de sélénium, du fer, du cuivre, de l’or, des carbonates, un peu de manganèse, par exemple sous forme de Manganum homéopathique associé au zinc. Certains utilisent la zéolite avec le même effet anti-oxydant mais il faut en prendre la dose de base 6 à 9 fois par jour.
En général, le sujet atteint de la maladie d’Alzheimer se trouve fort bien dans son état, il n’accepte pas qu’on aborde le sujet de sa situation. Les remarques rentrent par une oreille et sortent par l’autre. À force de lui répéter il n’est pas plus sourd, pas plus têtu, ce qui inquiète son entourage. Il y a intérêt à pratiquer le plus d’exercices possibles, à faire une véritable gymnastique cérébrale chaque jour pour ralentir l’évolution souvent très rapide de jour en jour le sujet s’enfonce, devient dépendant, etc.