L’eau est non seulement un élément nécessaire à la vie de l’homme, mais aussi indispensable à l’équilibre du système de la planète Terre, car l’environnement est composé à 72 % d’eau et de 18 % d’autres éléments. L’élément eau est le principe essentiel de notre vie, de notre composition cellulaire et tissulaire. Toute atteinte à cet élément entraîne des mutations génétiques importantes.
L’eau est un élément capital à la vie. C’est une molécule dont l’infrastructure est composée, apparemment, de deux atomes d’hydrogène et d’un d’oxygène. Or, cet élément est dissocié et donne les éléments de base dans la composition non seulement des acides aminés, des vitamines, mais aussi à une échelle cosmique dans le mouvement stellaire. En effet, cette composition se retrouve dans l’espace.
C’est l’élément le plus ancien qu’on puisse déterminer et le plus ancien déterminant. Si la pollution de l’eau génère, au niveau de la Terre, des éléments négatifs, voire des conflits humains, il existe entre l’hydrogène et l’oxygène également un conflit entre ces deux éléments atomiques. La molécule se maintient par une liaison extrêmement sensible, extrêmement fragile. Cela signifie que notre masse bactérielle est aussi sensible qu’elle est fragile.
Les chimistes se sont intéressés à l’eau, il y a déjà deux siècles : en Grande-Bretagne, M. Priestley, en Allemagne, M. Von Humbold et en France, MM. Gay Lussac et Lavoisier.
L’eau de la planète
L’eau des océans constitue 97,40 % des eaux de la planète. Les eaux présentes sur terre comprennent les nappes phréatiques, les neiges et les glaciers, soit 2,60 %. L’eau, libre, disponible, est en majorité constituée par les lacs et l’humidité du sol, ce qui ne représente que 0,014 %.
Les eaux de boisson ne constituent qu’une infime partie de l’ensemble, c’est dire leur impérieuse nécessité vitale pour les humains.
75 éléments chimiques sont présents dans l’eau de mer, dont 10 éléments constituent 99,9 % de résidu sec. Par ordre décroissant, en concentration milli moléculaire (mM) : le chlore, Cl
-,550 ; le sodium, Na+, 460 ; le magnésium, Mg++, 54 ; les ions sulfates, SO4--, 28 ; le calcium, Ca++, 10 ; le potassium, K+, 10 ; l’ion CO3H-
L’eau est dure si elle renferme des quantités appréciables, des cations (calcium, magnésium, fer) et des 2 anions (CO 3H- et sulfate, SO4-- ).
Une eau est douce quand on a pu éliminer les cations bivalents par des résines échangeuses d’ions insolubles dans l’eau qui fixent les ions métalliques. C’est la base des adoucisseurs ménagers. On les réactive en les lavant par une solution concentrée de chlorure de sodium (ClNa). On remplace les cations Ca
++ et Mg++ par le sodium, Na+
La température de congélation de l’eau de mer, au niveau de l’arctique ou de la banquise est de -1,85° Celsius. Le point de congélation est évidemment fonction de la concentration ionique. Dans le sérum humain, la température de congélation est de -1,46° Celsius. Dans le sang des poissons des mers froides, on a observé la présence de protéines antigel qui bloquent les germes de glace en formation.
Louis-Claude Vincent, il y a déjà plus de quarante ans, avait attiré mon attention sur le fait que les gouttes d’eau de pluie se transforment en cristaux de neige, avec une structure cristalline caractéristique.
Les images de cristallisation du chercheur japonais Emoto illustrent la théorie du père de la Bioéletronique. Les découvertes du Dr Masaru Emoto ont révolutionné notre conception de l’eau montrant l’influence des pollutions, notamment l’influence de l’état vibratoire du verbe humain. Un mot bienveillant fait apparaître des formes brillantes, complexes et colorées, rappelant les motifs des flocons de neige. Inversement, des propos négatifs produisent des formes incomplètes, asymétriques aux couleurs ternes. Ce qui signifie que l’être humain produit un champ électrobiomagnétique et émet, par la parole, des ondes capables de modifier les images de cristallisation. Les travaux d’Emoto confirment ceux de Jacques Benveniste sur la mémoire de l’eau.
Nous ne ferons qu’évoquer les travaux de Louis-Claude Vincent et ses disciples, notamment Mme Jeanne Rousseau, qui ont utilisé la bioélectronique pour classer les eaux, notamment de boisson (travaux repris par le Dr Fougerousse et Jacques Collin).
Rappel de la structure chimique de la molécule d’eau
L’atome d’oxygène occupe la case 8 dans la classification de Mendeleïev. Elle comporte sur la couche K, deux électrons, et sur la couche L, six électrons, donc huit nucléons. Nous n’évoquons pas les trois isotopes connus de l’oxygène. L’atome d’oxygène est donc entouré de quatre paires d’électrons ; l’oxygène gazeux (O
2) présente une liaison covalente, deux atomes d’oxygène mettant en commun une paire d’électrons pour parvenir à la structure stable d’octet.
Dans ce schéma tétraédrique, l’angle des liaisons est égal à 109,5° entre l’oxygène et les atomes d’hydrogène constitués d’un proton et d’un électron. Les deux électrons apportés par les deux atomes d’hydrogène venant compléter la couche L afin de réaliser la structure stable de l’octet.
La mesure expérimentale diffère du schéma théorique, on trouve 104,5° car les quatre orbitales entourant l’atome d’oxygène ne sont pas mises en oeuvre de la même façon. Deux forment des liaisons 3
avec l’atome d’hydrogène ; deux servent à héberger des paires d’électrons libres. La molécule d’eau a donc une structure coudée.
H
H
+
+
+
+
H
H
H H
Il résulte de cette structure spatiale la formation d’un petit dipôle. La molécule d’eau se comporte comme un petit aimant, si bien que l’excès de charge positive (protons) présent sur l’hydrogène attire l’excès de charge négative présente sur l’oxygène. On a donc une attraction dipôle-dipôle entre les molécules d’eau qui peuvent ainsi s’agréger, comme des grappes de raisin. On a mesuré les forces d’attraction de ces liaisons hydrogène, voici les chiffres : molécule d’eau, 40,7 kJ. Mol -1 (à comparer avec l’atome d’ammoniac, NH3, 23,4 kJ. Mol-1 et le méthane, CH4, 8,2 kJ mol-1). Il faut noter que les masses moléculaires de ces trois éléments sont voisines : l’eau, 18 ; l’ammoniaque, 17 ; le méthane, 16.
Les forces dipôles-dipôles sont moins importantes que les forces inter-ioniques. Les forces de liaison de covalence sont en réalité très supérieures, de l’ordre de centaines de kilojoules.
Etant donné l’extrême petitesse de l’atome d’hydrogène lié par covalence à un atome fortement électronégatif (tel que l’oxygène, l’azote ou le fluor), une attraction électrostatique se manifeste que l’on a appelé la liaison hydrogène car la charge est très concentrée sur l’oxygène. Le bi-atome exerce une forte attraction vis-à-vis des atomes électronégatifs des molécules voisines. Cela explique les propriétés très particulières de l’élément eau : température d’ébullition élevée et phénomène de glaciation avec augmentation du volume.
A 25° Celsius, 80 % des atomes d’eau sont impliqués dans des liaisons hydrogène. Cela explique que plus on chauffe une molécule d’eau, plus on détruit les liaisons hydrogène. Donc, les agrégats entre les molécules d’eau s’effritent. (L’analogie avec la grappe de raisin : les raisins ne sont plus aussi liés entre eux, ils se détachent) Inversement, avec l’abaissement de température, on retrouve la structure cristalline de la glace.
Chaque molécule d’eau peut former quatre liaisons hydrogène, et chaque molécule d’eau est située au centre d’un tétraèdre formé par les quatre molécules d’oxygène.
Si la température augmente, l’importance des liaisons hydrogène baisse.
Nous avons indiqué que l’eau était un élément dissocié.
Par définition, on qualifie d’acide, tout élément donneur de protons (H+). Par définition, est qualifié de base, tout élément accepteur de protons
L’eau joue à la fois un rôle acide et basique, pourquoi ? La formule de Lewis nous l’explique. Deux molécules d’eau se transforment en un
ion hydronium et un ion hydroxyle. L’ion hydronium, OH3+
+
H
H
Formule de Lewis H O H L’ion hydronium OH
H
H
110°
110°
Cet ion possède une paire d’électrons libres présents sur l’atome d’oxygène.
L’ion hydronium est présent dans l’eau pure avec l’
ion hydroxyle, OH-. Cela explique que l’eau joue à la fois un rôle acide et un rôle basique.
Réaction d’auto protonation : H
2O + H2O H3O+ + OH-
La constante de dissociation de l’eau, K est égale à [H
3O+] x [OH-]. A 25°, elle est égale à 1 x 10-14 M2
Cela explique la faible conductivité de l’eau, mais elle existe. Il en résulte que l’on peut utiliser l’eau pure en ionocinèse, ce que nous réalisons depuis des années dans les applications thérapeutiques. 5
La vapeur d’eau, présente dans l’atmosphère, sous l’influence des rayons ultraviolets du soleil, se transforme en ions hydroxyles : H
2O H+ + OH-
U.V.
Les ions hydroxyles présents du fait de cette réaction sont de puissants dépollueurs atmosphériques. Par exemple, le mono oxyde de carbone, CO, dont on connaît la grande toxicité, est oxydé par l’ion hydroxyle transformé en gaz carbonique : CO + OH
- CO2 + H
L’ion hydroxyle, OH
-
- SO
2, SO3
- NO
2
Tous ces produits sont oxydés par l’ion hydroxyle présent dans la vapeur d’eau, heureusement pour les populations animales et humaines.
La balance hydrique chez un adulte
Schéma théorique des apports et des sorties.
Les apports
Les sorties
Le milieu aqueux interne est essentiel pour le métabolisme de toutes les cellules, c’est-à-dire les composants cellulaires que sont les bactéries, les virus et les champignons. Toutes les réactions 6
métaboliques ne peuvent s’effectuer qu’en milieu aqueux.
9 litres d’eau pénètrent quotidiennement dans l’intestin grêle ; 95 % sont absorbés par osmose dans le grêle par un transport actif des solutés. On a chiffré cette osmose à 300-400 ml par heure.
APPORTS SORTIES
Boissons 1500 ml Urines 1500 ml
Aliments 750 ml Fèces 50 ml
Métabolisme 250 ml Respiration, 950 ml
2,5 litres
perspiration
Le poids corporel de l’eau présent dans un organisme humain est de 73 % chez un nourrisson ; de 57 à 63 % chez un homme jeune en bonne santé ; et de 50 % chez une femme jeune en bonne santé, car le tissu adipeux, chez la femme, est moins hydraté.
Si on prend pour base que le poids corporel de l’eau présent dans l’organisme humain représente 60 % : le volume du liquide intracellulaire représente 40 % du poids corporel et les liquides extracellulaires, 20 % du poids corporel. Ces derniers se répartissent en un volume interstitiel extracellulaire (80 %) et un volume plasmatique de liquide extracellulaire (20 %).
L’électrosomatogramme permet, par l’équation de Cottrel, dérivée de l’équation de Nernst, la mesure des pressions partielles d’oxygène du CO 2et surtout du pH au niveau des liquides interstitiels, ce qui permet d’avoir une évaluation indirecte de la physiologie des différents milieux interstitiels du corps humain.
Le corps humain, gigantesque antenne de réception aux ondes
électromagnétiques, aux phénomènes vibratoires
Tout comme la structure d’un cristal de neige est caractéristique du milieu, l’être humain est codé par rapport à son milieu de naissance, par rapport aux émanations telluriques du sol (alpha, bêta, gamma), par rapport aux cycles climatiques, aux cycles des dépressions, aux émissions solaires, lunaires, à l’ensemble de la galaxie, codage effectué dans la tendre enfance. L’inscription et la mise en mémoire devant s’effectuer au niveau des sous-particules des quarks, par exemple, c’est dire que cette mémoire est pratiquement infinie.
Le facteur de cette mémoire, c’est l’eau ! L’eau présente au niveau de l’arctique et de l’antarctique a gardé la mémoire des cycles climatique de façon similaire, les agrégats des molécules d’eau autour des protéines ont gardé ces mémoires. Or, chaque protéine baigne dans 10 à 15 000 molécules d’eau. La protéine résulte de l’activité sécrétoire des bactéries, virus, champignons. Elle constitue à la fois le lait émis par ces structures, mais aussi leur combustible. 7
Au niveau des griffons des stations thermales, les glairines ou barégines sont constituées par les cadavres des bactéries anaérobies qui meurent au contact de l’oxygène de l’air. Ces structures lactescentes ressemblent au lait émis par les seins des mammifères, lequel résulte des structures apicales des acini mammaires qui tombent dans les canaux galactophores. Les phénomènes d’homéothermie sont créés par l’activité des bactéries afin d’optimiser les réactions enzymatiques nécessaires à leurs activités métaboliques. Tout ce monde microbiologique possède une connaissance chimique inégalable, car nous savons que les bactéries utilisent toutes les réactions chimiques nécessaires à leur survie, voire à leurs mutations qui sont d’une fréquence et d’une facilité déconcertante. Toutes ces réactions se réalisent obligatoirement en milieu aqueux. Les travaux de Louis Kervran, sur les transmutations à basse énergie, refusés par le milieu universitaire, sont pourtant d’une réalité déconcertante. Les vaches présentes dans les prés n’assimilent pas les calcaires présents dans les sols, mais de l’herbe riche en silice et en magnésium. C’est à partir de ce magnésium que les bactéries présentes dans leur tube digestif effectuent la transmutation en manganèse (« ma genèse », mot donné par des alchimistes), et par sauts de nucléons, tous les oligoéléments : cobalt, fer, ou inversement calcium. C’est pourquoi le lait des vaches est si riche en calcium.
De la même façon, les poules, élevées dans un milieu ne comportant pas de calcium, pondent des oeufs dont la coquille est riche en calcium. Les travaux de physiciens asiatiques ont montré en milieu aqueux que des isotopes se formaient sous l’influence de faibles décharges électriques. Il y a un puit de potentiel à vaincre pour faire rentrer un nouveau nucléon dans le noyau. Or, cette énergie est fournie par l’activité métabolique des bactéries présentes dans le tube digestif des poules, vaches… et des êtres humains.
L’eau, autoroute des informations
Notre ami, Jacques Benveniste, dont les travaux ont malheureusement été décriés par des scientifiques sectaires et incompétents dans ce domaine, a démontré la mémoire de l’eau. Les grappes de molécules d’eau se font et se défont des milliards de fois par seconde. L’eau est un milieu réactionnel qui garde en mémoire, par exemple, les cycles climatiques, comme les carottes de glace au Spitzberg et aux pôles ont pu le montrer.
Les travaux d’Emile Pinel, mathématicien et biophysicien, repris par Jacqueline Bousquet, ont établi une théorie de cette réalité, car l’eau est hypersensible aux vibrations électromagnétiques, aux ondes, qu’elles soient sonores, lumineuses, puisque nous savons que la lumière se décompose dans la vapeur d’eau atmosphérique (arc-en-ciel). La vie cellulaire constitue un état vibratoire, l’oscillation cellulaire a été décrite par Lakhovsky dès 1930. Les grands prêtres en Egypte utilisaient des colliers métalliques pour se recharger en énergie, les circuits oscillants sont toujours utilisés sous forme d’anneaux de cuivre. Ces pratiques sont toujours visibles en Indonésie, en Thaïlande. Tout vibre dans l’univers. Nous sommes sans cesse soumis à des bains d’ondes telluriques cosmiques galactiques 8
électromagnétiques qui ont un écho dans les résonances de nos milieux aqueux interstitiels. L’eau sert de relais. On pourrait dire que l’eau, c’est le facteur. C’est dire que la psyché, le verbe humain, la pensée, ont une influence sur ces agrégats de molécules d’eau. On peut l’expliquer par les structures des protéines.
Les protéines ont cinq faces. Elles ressemblent à des micro- cristaux qui se modifient sous diverses influences. Les pollutions diverses génèrent des fractures, des dislocations, des dissymétries. Tous les phénomènes électrobiomagnétiques et vibratoires influencent les agrégats de molécules d’eau.
Les hindouistes savent depuis fort longtemps qu’il existe un corps énergie régit par des systèmes mathématiques précis. Dans le même ordre d’idée, les travaux de Flanagan sont à relater : l’eau de l’Himalaya présente des propriétés particulières. Les tribus des Hunza vivent très vieilles. On a cité de 110 à 140 ans pour certains individus. Le Dr Lévy évoque d’une certaine teneur en césium, ce qui est peut être vraisemblable, mais l’eau qui coule des flancs des montagnes himalayennes présente des dynamisations particulières au sein duquel le rôle de la lumière est fort important.
L’eau est donc un aliment énergétique
Toutes les eaux industrielles, dites potables, présentent des problèmes, car 80 % des eaux que nous consommons résultent de prélèvements effectués dans les rivières ou les fleuves, ce sont, en général, de véritables égouts des structures les plus pollués. Ainsi, quand je suis arrivé à Nantes en 1966, j’ai trouvé curieux que les maraîchers nantais puisaient dans les nappes phréatiques pour arroser leurs champs, tandis que pour la population, les prélèvements étaient effectués dans l’eau de la Loire, qui comporte une foule d’éléments toxiques. Car, malgré les filtrations industrielles réalisées, l’eau, dite potable, n’a plus aucun caractère énergétique. L’eau est dite potable lorsqu’il n’y a plus de colibacilles et un taux de nitrate inférieur à une norme, du reste discutable, mais ces eaux apportent des éléments étrangers à nos corps et préparent la sycose, c’est-à-dire la dégénérescence de nos organismes. Dans la majeure partie des cas, l’eau de boisson est contraire aux fonctions organiques et vitales des sujets. On y retrouve notamment des métaux lourds, plomb, cadmium, mais aussi fluor, chlore, près de 700 polluants, si on effectue des mesures très fines.
Ces eaux appauvrissent le milieu intercellulaire interstitiel de nos organismes en électrons, entraînant des suroxydations. C’est pourquoi les eaux acides issues des glaciers, notamment de l’Everest, apportent une énergie aux sujets qui la boivent. L’eau de fonte des grêlons comporte également un apport énergétique, une réénergisation, pourrait-on dire, essentielle mais peu connue.
Les eaux calcaires entartrent nos canalisations et nos casseroles. L’excès de calcaire crée dans l’organisme des dysfonctionnements, des déminéralisations, car le calcium n’est pas assimilable sous cette forme. 9
Pour ceux qui utilisent des osmoseurs, l’eau qui sort de ces appareils est neutre, dans un état d’absence de vibration, c’est pourquoi il est conseillé de la dynamiser. Les appareils industriels n’ont guère d’intérêt. Il faut la redynamiser à la lumière solaire : 30 secondes à une minute suffisent dans des cruches en verre, le matin, au soleil du matin. Car l’être humain est structuré par rapport à la lumière solaire, tout comme les abeilles et l’ensemble de la création.
Quelle eau faut-il boire ?
L’eau a comme rôle dans l’organisme non seulement de transporter les nutriments aux cellules, d’éliminer les déchets et les toxines, de servir d’intermédiaire, de baigner toutes les structures intracellulaires, mais encore apporter une énergie.
Une consoeur italienne, professeur d’université, m’avait interpellé à un congrès d’oncologie à Venise il y a quelques années, en nous montrant deux énormes classeurs où elle avait analysé toutes les eaux minérales européennes. Selon elle, les eaux minérales françaises étaient les plus mauvaises. Sur quelles bases portait-elle ce jugement ? Sur des mesures bioélectroniques :
Le pH mesure à la fois la potentialité magnétique et la capacité énergétique. Il est normalement situé pour les eaux de boisson, entre 5 et 7.
Le rH2 mesure la quantité d’électrons disponible à un pH donné, entre 24 et 28, il permet une bonne oxygénation.
La résistivité mesure la concentration en ions d’une solution, c’est-à-dire l’ensemble des anions et des cations. Plus l’eau est pure et plus la résistivité est grande, c’est-à-dire l’opposition au passage du courant électrique.
La norme européenne pour es nitrates est à 25 mg par litre.
Conclusion
Une eau saine, selon le professeur Louis-Claude Vincent, doit avoir un pH inférieur à 7. Or, les eaux de boisson dites potables, des robinets de ville, ont souvent un pH supérieur à 7.
Le potentiel d’oxydoréduction rH2 permet d’évaluer la richesse de l’eau en électrons, elle doit être peu réductrice. Or, tous les produits de traitement de l’eau sont oxydants, qu’il s’agisse du chlore (eau de javel), de l’ozone. En plus, les eaux dites potables contiennent des nitrates, des pesticides, des herbicides, des métaux lourds, dont certains sont cancérigènes (plomb, cadmium), mais aussi des hormones en quantités infinitésimales résultant des émissions urinaires....ou des produits pharmaceutiques anticancéreux …
La résistivité : une bonne eau doit être très peu conductrice, avoir une résistivité au moins égale ou supérieure à 8 000 ohms. Or, l’eau des réseaux dite potable a généralement une résistivité seulement 10 de 1 000 à 2 000 ohms.
La javellisation (CloNa) induit une oxydoréduction des nitrates en nitrites toxiques et cancérigènes.
Selon Jacques Collin, la plupart des eaux minérales ne sont guère meilleures que l’eau du robinet. En cela, il rejoint la consoeur italienne qui soulignait que les eaux minérales étaient beaucoup trop riches en anions et cations inassimilables par l’organisme. Leur consommation entraîne des surcharges électrolytiques ralentissant toutes les réactions biochimiques. Ces eaux contribuent à encrasser l’organisme au lieu de le purifier et de le régénérer.
Les eaux minérales s’altèrent en vieillissant. Dans les bouteilles plastiques, elles perdent au bout de quelques jours leur vitalité, leur énergie. Elles deviennent des eaux mortes chargées en minéraux inactivés, voire floculés.
Les ingénieurs du service des eaux ignorent trop les impératifs biologiques. Le directeur des Thermes de Vernet les Bains me signalait, il y a vingt ans que l’eau de source issue du Canigou était d’une extrême pureté, mais que l’ingénieur à la station d’épuration, croyant bien faire, y ajoutait des sels, notamment de phosphates. La situation est toujours identique.
On a une grande quantité de sédiments dans les dernières eaux, notamment Contrex et Hépar. Les eaux de réseau ont des pH compris entre 6,36 et 7,45, des rH2 qui vont de 29 à 40, et les résistivités entre 550 et 2 500 ohms.
Vérification sur une eau osmosée juste convenable : pH, 7,39 ; rH2, 28,4 ; résistivité, 15 110 ohms.
Chiffres affichés par les constructeurs d’appareils d’eau osmosée : pH, 6,2 ; rH2, 25,6 ; résistivité, 11 73 590 ohms.
Quelle eau faut-il boire ? L’eau la plus pure possible, car elle sera en compatibilité avec le métabolisme cellulaire. Il est donc essentiel de purifier l’eau des réseaux de distribution. Les purificateurs d’eau les plus efficaces utilisent les membranes de filtration mises au point pour les voyages extraterrestres des cosmonautes, c’est-à-dire le procédé d’osmose inverse. Les mailles des membranes Dupont de Nemours sont très fines, donc l’eau que l’on obtient est dépourvue de tous les sels minéraux, pratiquement de tous les microorganismes et polluants. Les pores des membranes sont de l’ordre du 10 000ème de micron, seules les molécules d’eau peuvent traverser la membrane, la taille des virus étant de quelques centièmes de microns, ils sont éliminés à 100 %.
Note sur l’osmose inverse, un procédé de filtration naturel
On utilise la pression du réseau d’eau pour faire passer de l’eau à travers une membrane semi perméable. Auparavant, l’eau a été filtrée par un préfiltre à sédiments afin d’enlever la boue, les particules en suspension, non dissoutes, contenues dans l’eau, dont la taille dépasse 20 microns. Ensuite, elle passe à travers un second préfiltre à charbon activé, granulaire. Il est destiné à éliminer le chlore contenu dans l’eau afin de préserver la vie de la membrane active qui est le coeur du système. Cette membrane sépare les molécules d’eau des dernières impuretés.
A l’origine, ce procédé a été mis au point par les services de la NASA pour recycler les eaux usées des cosmonautes présents dans les capsules Apollo. Il y a, pour un litre d’eau pure, un rejet de 5 à 6 litres d’eau sale. Dans les derniers systèmes, le rejet d’eau sale n’est plus que de 50 % au lieu d’être initialement de l’ordre de 80 %. La pression doit être suffisante pour obtenir une filtration de bonne qualité. Il y a intérêt à changer les préfiltres à sédiments et à charbon une fois par an.
*Congrès homéopathie – Paris 1998
Mesure bioélectronique des eaux minérales pH | rH2 | résistivité (en ohms) | |||
Fontaine de la Reine | 6,10 | 30,6 | 32 000 | ||
La Rosée de la Reine | 5,20 | 28,0 | 28 100 | ||
Mont Roucous | 5,50 | 28,2 | 23 000 | ||
Montcalm | 5,60 | 28,4 | 22 300 | ||
Source de montagne Carrefour | 6,90 | 28,8 | 18 600 | ||
Volvic | 6,95 | 29,6 | 4 200 | ||
Cristalline | 7,40 | 29,4 | 2 450 | ||
Evian | 7,12 | 30,6 | 1 797 | ||
Thonon | 7,01 | 30,6 | 1 647 | ||
Eau des Volcans | 7,08 | 27,3 | 1 587 | ||
Contrex | 7,36 | 30,8 | 462 | ||
Hépar | 7,15 | 30,3 | 380 |