Pasteur n’a jamais conseillé de dépasser la température de 15° Celsius dans la préparation de ses souches bactériennes. Il a eu beau le crier, le répéter, il n’a jamais été entendu par ses propres élèves ! Ce n’est pas sur ce seul détail d’ailleurs !!
Si on chauffe à 15° C., les protéines sont intégralement conservées. Par contre, si on chauffe à 30° C., les protéines sont dissociées.
Le but de la « pasteurisation » est de rendre les germes inactifs sans les tuer, il faut seulement les inactiver, alors on provoque une vaccination naturelle et un renforcement du système immunitaire.
Les élèves de Pasteur ont dépassé le maître en pensant bien faire ! Il en a été de même pour la vaccination qu’ils ont rendu systématique alors que Pasteur la réservait uniquement aux sujets infectés.
Les Mycoses
Parmi les dermatophytes : le corallium rubrum est de fâcheuse réputation. Ce champignon parasite de l’homme se moque en général royalement de toutes les applications dermatologiques ! Même si l’on emploie des solutions réputées efficaces, le rubrum ne s’enlève pas comme cela ! Il reste en repos dans les tissus et se développe de nouveau à la première occasion (fatigue, baisse de l’immunité…).
La bonne technique ce serait de fortifier et de modifier la circulation. Cela permet peut-être de changer et de fortifier aussi le rubrum jusqu’à ce qu’il n’ait plus un terrain acide pour se développer, il sera donc ainsi amené à survivre dans une position délicate.
Si le sujet a des humeurs acides : on les retrouve au niveau de son cul, de ses aisselles et des pieds, notamment des sécrétions sudorales de l’entrecuisse. Or dans ces sécrétions acides, le champignon se développe à merveille. C’est expliquer ainsi combien il est difficile en général d’obtenir une thérapie définitivement efficace contre ce champignon.
La bonne solution est d’annihiler les humeurs acides et les transformer en humeurs basiques, mais transformer progressivement un milieu acide n’est pas si commode.
On pourrait dire que plus on pisse du nez (nez qui coule, humeur acariâtre), plus on nourrit la champignonnière, d’ailleurs vous le savez l sur le fumier de cheval on voit beaucoup de champignons se développer !
Les mycoses vaginales expriment souvent un rejet inconscient du partenaire ou de la sexualité, voire les deux. Le travail d’intériorité est utile.
Est-ce que le corallium rubrum est un hôte acharné de notre tégument ? Eh bien je répondrai que nous sommes nous-mêmes un amas de champignons car sans les champignons nous ne serions seulement qu’un volume d’eau ! La matière cellulaire sans les champignons ne pourrait se créer, il y a au niveau de nos gènes un voile mycélien.
La thérapeutique par voie immunologique (cf Robert Roudier ou Hervieux) de micro-injections à doses infinitésimales d’antigènes spécifiques (gamma-globulines) peut entraîner un réchauffement de la champignonnière.
L’essentiel demeure la modification des humeurs psychologiques. Chez les sujets réglistes, sectaires, cela est particulièrement difficile à obtenir.
Conseils pratiques :
1. Seul le sujet peut prendre conscience de ses humeurs acides et s’efforcer – avec l’aide d’un thérapeute compétent – de retrouver la joie de vivre.
2. CO2 + H2O → CO3H2 en acide faible/ L’exercice physique permet d’éliminer en partie le CO2 ; il est indispensable. On acidifie son terrain de plus en plus avec l’âge.
3. Pour le PH plasmatique général. Le jus de choux est utile (Ampoules chez Superdiet, car l’extraction à partir de choux vert est peu efficace, exige du matériel adéquat et engendre beaucoup de déchets)
4. Pour réduire de PH intestinal et hépatique et permettre un meilleur fonctionnement du foie, selon les saisons : jus de pommes-poires, pommes-pêches, ou mieux de grenade.