Suite de L’univers des protéines : Les cinq facettes des protéines
La première concerne l’atome de carbone ; la seconde, l’azote, dont tous les êtres vivants sont constitués. Les oscillations des masses électroniques gravitant autour des noyaux de carbone et d’azote constituent un mouvement permanent entre les chiffres 6 et 7.
Pour la troisième facette, je proposerais le caractère amphotère, soit acide, soit basique, car tous les acides aminées possèdent ces deux caractéristiques à la fois, une sorte de pince qui comporte soit un excès d’électrons, soit de protons, donc l’oxygène en phase aqueuse. L’oxygène constitue la huitième case de la classification de Mendeleïev. Nous avons carbone case 6, azote case 7, oxygène case 8, tandis que le souffre est à la 16ème case. Il correspond donc au double de nucléons que l’oxygène. Le souffre apporte un élément oxydoréducteur par les groupements thiols et l’état de réduction sous forme de pont disulfure. Telles sont les quatre premières facettes des protéines. Ensuite, nous avons déjà évoqué le phosphore. Il est à la 15ème case de la classification de Mendeleïev, en raison de son rôle essentiel au plan thermodynamique d’accumulateur d’énergie sous forme de liaisons riches de Lipmann.
Les protéines sont constituées par des ensembles d’acides aminés, lesquels comportent un radical (R) et deux bras : un premier bras acide : COOH et un bras azoté : basique NH2.
Cela fait trois éléments obligatoires, le radical pouvant être une chaîne carbonée plus ou moins longue, comporter du soufre, du phosphore, d’autres éléments, c’est donc une triade. Comme on est dans la chimie du carbone lequel a quatre liaisons disponibles ou quatre bras, on se trouve obligatoirement dans des systèmes mathématiques à base quatre et trois, ce qui fait 4 x 3 = 12 ou 4 + 3 = 7.
Lorsqu’on a douze éléments, c’est un composé multiple, on rentre dans une forme cubique. On peut imaginer que les chorégraphie des orbites électroniques périphériques suivent des trajectoires semblables à celles des planètes autour du soleil, c’est-à-dire qu’elles ont toujours une forme d’ellipse. Depuis Henri Poincaré, le problème à trois corps, et plus généralement à (n) corps, est l’objet d’intenses travaux mathématiques. Pour citer Poincaré, les orbites périodiques sont « la seule brèche par où nous puissions essayer de pénétrer dans une place jusqu’ici réputée inabordable ». Christopher Moore, et Michaël Nauenberg, viennent d’attirer récemment l’attention sur le fait que ces orbites périodiques pourraient se fonder sur les propriétés d’un polyèdre connu depuis Archimède : le cubo-octaèdre.
Si au niveau de chaque arête d’un cube, au niveau de sa partie médiane, on trace une ligne reliant chaque partie médiane, on obtient quatre hexagones réguliers qui représentent en première approximation les orbites recherchées.
La fibromyalgie
C’est donc un composé multiple et on peut penser qu’il y aura 12 x 12 compositions différentes, toujours dans cette unité de triade.
Sur un plan purement chimique, on aura douze formules ou douze assemblages possibles composant la protéine.
Or, vous savez que toutes les protéines résultent des secrétions bactérielles et bactériennes. Secrétions bactériennes, c’est-à-dire provenant de la bactérie et bactérielles parce qu’elles-mêmes servent d’alimentation aux autres bactéries. Nous avons affaire à des mondes vivants qui constituent nos propres cellules. On pourrait dire que c’est la cosmologie représentée dans un monde microcosmique, lequel représente l’infiniment petit de nos cellules. Le cosmos se retrouve donc en corrélation avec notre micro cosmos et on peut appliquer les lois universelles valables pour les planètes.
Or, cette protéine est en permanente mutation. A un moment donné, on a un état, mais elle va changer dans un temps qui nous semblera infini, mais court pour elle vis-à-vis du temps de notre champ de conscience, c’est-à-dire vingt-quatre heures. En vingt-quatre heures, la protéine aura changé avant de se retrouver déféquée un nombre astronomique de fois. C’est donc une course monstrueuse, phénoménale, riche en évènements sectoriels, factoriels, séquentiels, non seulement séquentiels, mais également vibratoires et électromagnétiques.
Ces situations résultent d’échanges magnéto-protoniques et d’échanges cations-anions. C’est aussi un échange permanent d’influx nerveux sous forme de cations et d’anions qui va nous donner l’impression d’avoir un micro-courant électrique. Il va se retrouver, en bonne partie, épuisé en fin de course. Si on mesurait mentalement cette quantité émise dans le milieu aqueux de ces protéines, on aurait un volume immense qui va se trouver éjecté d’une manière ou d’une autre. Les chiffres d’évaluation, comme base unitaire, seront énormes. Donc, un homme naturellement constitué va donner 100n litres en évacuation permanente. Cela ne veut pas dire qu’on va perdre toutes ces protéines en même temps sinon on serait vite déshydraté.
La protéine va être le véhicule nécessaire à l’ensemble des cellules pour être alimentées dans la composition intrinsèque du milieu chimique microscopique intracellulaire. Ces échanges, apparemment linéaires, s’effectuent dans des volumes cubiques.
Prenons l’exemple de la vitamine A : Si on prenait de la vitamine A pure par ingestion en ayant auparavant enlevé tout le magnésium et tout le manganèse du corps, la vitamine ne ferait guère qu’un passage pour se retrouver intacte à la sortie. Si on lui rajoute du magnésium ou du manganèse, l’évolution sera tout à fait différente. On aura des humeurs riches, des humeurs aqueuses riches et un système défensif, notamment un système immunitaire protecteur équilibré et équilibrant. C’est dire l’importance de cette vitamine (A) dans notre défense.
Une douleur quelle qu’elle soit va consommer du magnésium parce que la douleur va induire une perte d’énergie, une consommation protéinique.
Si on a effectué un apport suffisant de magnésium dans l’alimentation, les chaînes de carbonates vont permettre de fixer les différents composés de potassium, les différents alcalins, les différentes bases, les différents sulfures, les différents oxydes carbonés car la base même de la cellule est bien évidemment constitué par le carbone.
Dans la maladie de Creutzfeldt-Jakob, nous avons une protéine déformée quelle que soit l’étiologie à l’origine de cette maladie, soit que la protéine soit ingérée ou injectée sous forme de produits carnées en quantités importantes, soit résultant d’une production interne faisant suite à une alimentation déficiente, soit secondaire à un choc déficient, l’ensemble de ces causes vont entraîner une déficience. On va retrouver le même problème de la protéine déformée dans différentes maladies neurologiques.
On retrouve donc ces modifications protéiniques dans la tremblante de l’homme (maladie de Parkinson), comme la tremblante du mouton, comme dans toutes les déficiences mentales, c’est-à-dire les dysfonctionnements mentaux, l’épilepsie, l’effondrement respiratoire, l’effondrement folique, l’effondrement du système orl et bronchique, qu’on retrouve également au niveau du cavum dans les déficiences ORL, voire de la tuberculose. Tout cela s’accompagne de déficiences endocriniennes.
Les altérations des protéines résultant d’une alimentation déformée, par exemple des plaies mutantes, détermineront soit des excès, soit des insuffisances en acides aminées, notamment dans les acides aminés du gluten, nous devons avoir une chaîne particulière NaOH ou NOH ou NnOH, ce qui est très voisin du phénol : ce sont des produits phénolés. C’est dire que la fabrication industrielle du pain peut comporter des lacunes graves à cet endroit. Cependant, tout va dépendre aussi des levures que l’on va utiliser ou non (levures chimiques) dans la fabrication du pain. En entraînant des modifications alimentaires, on commence à percevoir où l’évolution protéinique va reprendre tout le métabolisme de la cellule pour entrecroiser, tout simplement, l’agencement bactériel, donc l’agencement génétique des chromosomes, ce qui va permettre d’appréhender les phénomènes d’évolutions civilisatrices, du moins supposées telles… ou d’involution pathogène !
Les protéines sont des composés cellulaires très riches. Elles sont en fait les moteurs de la vie cellulaire, c’est par elles que le système des gènes va pouvoir se développer et se répercuter au niveau des chromosomes.
Les chromosomes ne peuvent exister que si les protéines existent et les protéines ne peuvent exister que si les chromosomes existent, donc les gènes dépendent de la qualité du substrat protéinique.
Cela signifie une symbiose totale et complète. Si on regardait au microscope les protéines, nous en observerions quelques milliards sous forme de microcristaux comme nous avons quelques centaines de milliers de gènes.
Les gènes constituent les coordonnateurs, ils se dupliquent en permanence ; ce sont les coordonnateurs visibles les moins visibles. Dans la chaîne des chromosomes morts ou désertiques, comme vous voulez, nous avons aussi des programmations de gènes qu’on peut appeler et dénommer des gènes. Parce que si les programmateurs ne fonctionnaient pas, les gènes ne pourraient pas fonctionner.
Si on en 50 000 de visibles, on a autant de programmateurs au minimum qui contiennent eux-mêmes une ADN particulière. C’est pour cela qu’on peut dénombrer vraisemblablement quarante-huit chaînes d’ADN (4 x 12).
L’ADN est un long fuseau d’élastomère dans lequel s’imbriquent différents acides aminés qui se mélangent pour créer tout un circuit de protéines. Les protéines vont être la base même de ces chaînes mais aussi la base des transferts d’énergie et d’informations. Les protéines vont servir de relais entre ces chaînes, parce que chaque muscle, chaque cellule, a son propre gène, sa propre chaîne d’ADN. L’ensemble se situe dans un volume cubique.
Nous avons maintenant l’expérience clinique de la mutation à l’origine de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Lorsque les protéines commencent à s’aplatir, la vie s’en va, c’est logique, parce que les gènes d’ADN ne sont plus respectés, d’où la dissociation des acides aminés, entraînant les carences. C’est pour cela qu’il est bon de conseiller au sujet de prendre du magnésium et des vitamines, pour compenser une alimentation industrialisée carencée. Si l’alimentation est carencée, on n’alimente pas suffisamment notre source d’énergie, donc nos protéines ; les chaînes protéiniques se dissocient, les erreurs cellulaires se développent, les dérèglements cellulaires aussi, nous avons des chaînes enzymatiques carencées et ainsi de suite jusqu’à l’apparition des tumeurs.
La protéine est la base même de notre constitution, des constituants des chaînes d’ADN. Notre alimentation détermine notre constitution. Tout cela est donc d’une importance capitale.
Pierre Rabhi résume ainsi le problème :
« La médecine est d’une vanité incroyable par rapport à la vie, elle n’est plus à l’écoute de la vie.
L’urgence pour le corps passe par une terre saine. Ce que nous faisons à la terre, nous le faisons à notre corps. Si la terre meurt, nous mourrons, le paysan soigne la terre. »
La falsification industrielle actuelle de la nourriture résulte de la colonisation chimique des sols et des séries de mutations secondairement induites. Or, le contenu de notre assiette est la nourriture même de notre vie. C’est aussi la litière des développements de certaines bactéries et des dérèglements dans les constituants de nos cellules. C’est-à-dire effectuera une synthèse géniale sur la pathogénie et la physiopathologie
Depuis quelques années, on observe un grand nombre de fibromyalgies survenues par exemple après des fractures ou l’utilisation de certaines substances –les mycostatines, par exemple, ont été très signalées–, parfois de l’aspartame qui se décompose dans le corps en alcool méthylique et en formol. Les troubles neurologiques sont la conséquence de l’usage de molécules iatrogènes. Ces personnes ressentent des douleurs musculaires intenses, on observe des transformations fibreuses de certains muscles, voire une dégénérescence musculaire.
Il s’agit en fait d’une dégénérescence du fonctionnement de la capacité protéinique à se reconstituer. Si on effectue l’analyse des protéines, on s’aperçoit qu’elles sont légèrement déformées, on peut mettre la fibromyalgie en parallèle avec la pathologie du prion sur ce point.
La protéine va être incapable d’apporter l’élément indispensable au fonctionnement musculaire : elle va soit agresser, soit calcifier, soit défibriller le muscle.
Plus l’évolution se poursuit et plus le fonctionnement protéinique va se déformer. La protéine, au lieu d’être constituée de cinq facettes, va en présenter trois ou quatre. Elle va donc se déformer. C’est pour cela que les sujets présentent par la suite des durcissements musculaires. Les muscles deviennent durs, se fossilisent ou deviennent flasques. Aussi, les sujets vont dépérir. On peut à la limite dire qu’il s’agit d’un empoisonnement du corps.
Le monde bactériel constitutif des cellules va émettre une composition gélatineuse tout à fait différente de l’habituelle et les champignons, les moisissures vont aussi participer au processus. Cela peut survenir après les fractures mal réduites parce que l’on a coupé la circulation, mais aussi après n’importe quel choc ou à la suite d’une douleur donnée, voire à l’imaginaire de la douleur.
Souvent, les sujets amplifient les phénomènes douloureux pour différentes raisons. Ils sont anxieux et stressés parce que, par exemple, leur enfance a été traumatisante, bref l’émotivité est grande, aussi ils anticipent la douleur et s’en effraient d’avance. Cette imagination va provoquer un choc spatiotemporel électromagnétique. Cela veut dire que dans la masse neuronique et cellulaire, il va y avoir l’augmentation d’un besoin métabolique. La masse protéinique gélatineuse présente ne va plus suffire pour les échanges.
Cette résistance électromagnétique va être tellement dense qu’elle va saturer l’influx nerveux sensitif, aussi la douleur va être immense. Vous savez ce qui se passe lorsque les phénomènes douloureux sont trop importants : on coupe l’influx. C’est ce qui se passe au niveau de la poliomyélite antérieure aigue, lors de l’infestation des cornes antérieures de la moelle épinière, le système inhibiteur coupe la circulation neuronique et si l’on coupe, on effectue un court-circuit, on va détruire la relation neuronique. Lorsqu’une destruction s’effectue, une cascade de réactions suit pour détruire progressivement la jonction entre le neurone et les muscles. Aussi, il n’y aura plus d’échanges spatiotemporels, parce qu’il n’y a plus de passage d’influx nerveux.
La saturation d’excitation électromagnétique a tout détruit, c’est comme si l’on faisait “disjoncter les plombs”, cela a brûlé. Une partie neuronique d’un endroit donné s’est retrouvé brûlée comme lors d’un feu de cheminée. Le passage ne s’effectuant plus, les protéines peuvent passer mais la situation est alors semblable à un désert. Si on cherche à essayer d’irriguer de nouveau le désert, on va peut-être amener une certaine fonction. Elle va se reconstruire plus ou moins.
En massant les sujets et en leur donnant beaucoup de vitamines et de compléments alimentaires, on va inonder de nouveau cette partie désertique. Mais ce qui a été détruit demeure un désert. Si l’on met une fleur dans le désert en plein soleil, s’il n’y a plus d’eau, elle ne peut que se faner. Si on lui donne de l’eau, elle ne va survivre que tant qu’il y aura de l’eau, donc une certaine amélioration partielle peut s’observer mais l’espace demeurera désertique. Il faut espérer que certains neurones vont se reconstituer aux alentours et se renforcer. Pour cela, il faut un apport alimentaire biochimique correct, c’est la partie la plus aisée du traitement. Si c’est la partie générale de la partie protéinique qui est atteinte dans sa création, on aura une masse protéinique pauvre qui va ronger le reste.
La protéine n’a pas de capacité évolutive, comme une bactérie ou un virus, c’est un sujet bête et discipliné qui ne connaît rien puisqu’elle constitue la sécrétion du monde bactériel, mais aussi le lait pour d’autres colonies bactériennes. Elle ressemble à l’eau que l’on donne à la fleur dans le désert, mais si l’eau est polluée, elle va polluer tout le reste. Si on la compare à un lait alimentant les synapses, s’il est souillé, il va souiller tout le reste. Si la partie créative est atteinte, le désert demeure.
Pour faire comprendre ce qui se passe, on peut également évoquer l’image d’une charrette de foin tirée par une paire de bœufs. Si les bœufs tombent de fatigue, la charrette s’immobilise, donc la partie motrice n’existant plus, on se retrouve dans une situation difficile. On peut envoyer une armée de paysans ou de fantassins, les transports seront particulièrement difficiles.
Il faut essayer de ramener l’irrigation biochimique, assouplir les muscles pour empêcher leur durcissement, les fortifier pour essayer de récupérer, mais si la partie créatrice est endommagée, il n’y a guère d’illusion à avoir.
Il faut noter qu’un choc, une grande peur, peuvent engendrer une fibromyalgie tout comme un vitiligo, une douleur affective immense telle que ceux qui ont dû assister au tsunami ou voir s’écrouler leur demeure sur leurs enfants entraînés par les flots. Ces personnes sont folles de douleur et l’irruption affective est aussi incontrôlable qu’un raz de marée.
Les personnes sous-alimentées ayant une nourriture défectueuse et carencée sont sujettes à ce genre de problème. Inversement, si elles ont une alimentation saine et équilibrée, la capacité de résister à la douleur est plus importante parce que le système endocrinien, immunitaire, permet au sujet de créer des molécules que l’on pourrait appeler “antidouleur” : il s’agit de la sérotonine. Mais si on crée trop de cette substance, il va y avoir aussi des conséquences donc des destructions.
Etant donné que l’alimentation industrialisée est de plus en plus carencée, il ne faut pas s’étonner d’observer de plus en plus des cas de fibromyalgies. Il faut ajouter que bien des alimentations industrialisées ou la restauration dans les cantines ne sont pas conformes. Certains sujets qui mangent ces denrées plus ou moins toxiques ne sont jamais malades parce que leur système immunitaire réagit vigoureusement. Mais, d’autres personnes qui vont manger une peau de pêche malheureusement trop traitée, vont prendre un important chemin pathologique.
C’est donc une manière d’être et de réagir selon l’état dans lequel on se trouve, certains supportent mieux que d’autres. Certaines personnes vont être horrifiées de voir leurs animaux crever, elles se paniquent, cela engendre des idées fixes, parfois des foldingueries parce qu’ils ont perdu une certaine notion de résistance. La fatigue prépare un état de dysfonctionnement endocrinien sur lequel la panique va se greffer, et cela va créer des dysfonctionnements d’élaboration biochimique de substances antidouleur, des dysfonctionnements de transmission mutative électrobiomagnétique.
Dans les dysfonctionnements de la glande thyroïde ou des glandes pinéales, on observe les mêmes origines, ainsi que dans toutes les dysfonctions de la chaîne hypothalamo-hypophysaire.
S’il y a un dysfonctionnement hypothalamique, cela va générer un excès hypophysaire. Mais, inversement, la carence hypophysaire génère un excès hypothalamique. La carence hypophysaire va avoir de nombreux effets secondaires : baisse de la libido, baisse des fonctions cognitives, des sécrétions de testostérone ou d’oestrogènes…
Mais, il va en résulter également une sécrétion plus importante de l’hypothalamus pour essayer de compenser. Il y aura donc toujours compensation et décompensation de l’une par rapport à l’autre. Toute une série d’autres glandes vont entrer dans ce concert : les parathyroïdes, les glandes para hypothalamiques, para hypophysaires, para pinéales. Tout cela va générer des excès ou des insuffisances. Bref, tout le système neuronique va se trouver déphasé, chamboulé. C’est aussi ce qu’on observe après l’ablation de la glande thyroïde. La situation est pire lors des surrénalectomies. C’est pourquoi dans les deux cas, l’hormonothérapie complémentaire est indispensable, mais elle ne pallie jamais intégralement le déficit créé.
Le vitiligo
Il s’agit d’une dépigmentation cutanée qui correspond à une carence, à un déséquilibre immunitaire. On s’est posé la question de savoir s’il était la conséquence d’un déséquilibre alimentaire ou d’une alimentation falsifiée par les diverses pollutions agroalimentaires actuelles.
Le vitiligo est surtout dû à un fonctionnement protéinique qui génère des excès d’où une inaction du système immunitaire en un lieu donné du corps. Le système immunitaire va se désintéresser de l’équilibre harmonieux qui permet à la pigmentation cutanée de demeurer stable pour aller sur un autre endroit, donc se renforcer en un autre endroit du corps. Souvent, les sujets dépigmentés ont des faiblesses immunitaires dues par excès. Le fonctionnement des mélanocytes rentre dans un ensemble. Si l’alimentation en protéines est falsifiée, on peut avoir les reflets d’une falsification, c’est une des causes. Une autre cause peut être la mutation.
La mutation peut être transmise ou apportée. Par exemple, grand-mère a eu dans sa jeunesse une grande peur, cela s’est inscrit dans son génome et cela va donner une mutation qui va se développer à la deuxième ou à la troisième génération, voire plus loin encore dans la descendance.
Si au cours de la grossesse, la mère a subi un choc psychique, il peut en résulter une expression dermatologique. Par exemple, une religieuse qui vivait en communauté n’arrivait plus à survivre, elle s’y asphyxiait, aussi a-t-elle fait une dépigmentation complète des bras qui ne s’est arrêtée que par un travail psychologique sur elle-même dans lequel elle a pu retrouver un peu d’air de relationnel, en fait, et de capacité de survie.
Le vitiligo s’est développé en quelques semaines. C’est un bel exemple de mutation. Une peur peut provoquer une mutation, un choc également. La mutation peut être immédiate ou future. Un choc asphyxique peut générer des conséquences par la suite. On peut être bien pendant la moitié de sa vie et après s’effondrer pendant une décade.
Comme remède, on peut essayer de reprendre une alimentation correcte, équilibrée, de retrouver la jouissance de la vie, bref d’être en harmonie avec soi-même, bien que cela ne soit pas très évident.
La dépigmentation peut toucher les membres, les mains, se produire n’importe où, elle peut aussi toucher le visage. On peut observer également une repigmentation. Au lieu d’être blanche, la peau peut s’assombrir ou jaunir. Dans ce dernier cas, on va dire à la personne qu’elle se fait de la bile. C’est vrai, mais on peut observer un jaunissement de pigmentation avec un fonctionnement normal de l’estomac et du foie. L’inverse peut être identique. Une maman voit son enfant se faire écraser ou être massacré sous ses yeux, elle peut devenir folle et incapable de comprendre, voire se retrouver muette et sourde, ou idiote par la suite. Une dépigmentation exprime une atteinte du système nerveux puisqu’il y a un lien direct entre la peau et le neuraxe. L’ectoderme génère le tube nerveux aux premiers stades de l’embryogenèse (neurulation).
Protéines, clones, clonage, insémination artificielle
La protéine est par elle-même un amas globulaire bactériel disposé dans un ordre donné, dans un agencement donné. Cette organisation parfaitement hiérarchisée conduit à des mouvements réparateurs cellulaires permanents. C’est ainsi que nos cellules cérébrales peuvent se réparer. C’est là, au cœur de ces laitances de protéines, qu’elles vont prendre des ordres donnés pour s’y accommoder. Si je prends une cellule quelconque X qui va se développer pour réparer une plaie, on aura d’abord une perte de sang, puis une perte de sang blanc, ensuite une cicatrisation. En deçà de la cicatrisation, on aura une fourmilière d’activités. Si on regardait au microscope le bourgeon d’un derme, on verrait comme une marmite en train de bouillir. C’est un bourgeonnement permanent qui n’apparaît pas dans n’importe quel ordre, mais suivant un ordre donné, une organisation parfaite qui permet la survie unitaire de l’ensemble.
Suivant l’ordre donné, une laitance va être secrétée. Cette laitance, on va la prendre pour du sang blanc, du sang jaune ou de la pourriture. S’il y a oxydation, on va avoir un développement de streptocoques, s’il n’y en a pas, on aura de la peau, c’est aussi simple.
Si nous placions ces cellules de la peau sur un os, elles se transformeraient en utilisant du calcium, du moins les carbonates de calcium. Vous me direz : Est-ce que n’importe quelle cellule du doigt de pied, par exemple, placée dans la tête, va se transformer ? La réponse est affirmative, parce que les cellules ne sont que des moyens, des esclaves, pourrait-on dire, qui vont travailler suivant l’apport des messages contenus dans la laitance protéinique donnée à cet endroit, suivant l’apport quantitatif et qualitatif des acides aminés et des matériaux métaboliques à la différenciation de ces cellules, de leurs fonctions, tout simplement.
Elles vont donc se transformer soit en cellule destructrice de l’os (ostéoclaste) soit en cellule édifiant un nouvel os (ostéoblaste), ou en carbonate nécessaire pour la reconstitution de l’os. Le polymorphisme part de l’alimentation. L’alimentation est donc l’élément fondamental nécessaire. Tout le travail métabolique va élaborer le reste par l’apport nécessaire des acides aminés et des vitamines. Il y a des chefs d’orchestre et des ouvriers spécialisés.
Les chefs d’orchestre, ce sont les protéines, la bactérie protéinique qui va être plus ou moins importante. La bactérie de la chaîne ADN, qui est très riche, va nécessairement constituer la nourriture de la cellule suivante. Dans le cœur, par exemple, suivant les réactions biochimiques qu’il y a eu entre la chaîne d’ADN principale et le cœur, cette chaîne va capter tous les éléments indispensables en vitamines et en acides aminés pour que les cellules du cœur puissent se reconstituer avec un recopiage des chaînes ADN identiques à la chaîne primaire.
Inversement, si on prend une cellule du cœur et si on la place sur un doigt de pied, elle va en quelque sorte s’autogreffer et devenir à son tour une cellule d’un orteil. Si on injecte une cellule de la peau dans un ovocyte dont on enlevé le noyau, on pourra avoir ultérieurement un enfant, mais pas n’importe lequel : on aura un gamin carencé parce que l’ADN de la peau n’est pas le même que l’ADN initial. Cela explique les problèmes rencontrés avec le clonage (brebis Dolly par exemple). Cela génère, en général, des animaux stériles à système immunitaire et endocrinien très affaiblis, voire inexistants. Cela me fait penser à une émission télévisée récente où on voyait deux chevaux de course clonés, superbes, la robe très luisante. Cela m’avait paru merveilleux de réussir à créer d’aussi belles bêtes. Il est malvenu de voir la face cachée, car derrière cette façade brillante, on ne voit pas l’intérieur. C’est tout simplement que ces animaux sont plus vieux que ne l’est la façade, car ce bel alezan cloné est aussi vieux que son ascendance. Ils peuvent avoir une très belle apparence, mais ils ne peuvent pas courir, malgré toutes les hormones et les antibiotiques qu’on leur injecte. Leurs cellules s’usent plus vite, car ces animaux ne dérivent pas d’une cellule initiale complète. Si, par hasard, ils se reproduisent, la descendance est encore plus dégénérée.
On croit pouvoir résoudre le problème de la conception en prenant du sperme de l’homme et des ovocytes de la femelle, on va mélanger le tout et remettre cela ensemble dans un utérus porteur. C’est une très belle idée sur papier de bureaucrate mais il manque quelque chose : la protéine nécessaire, fournie par les ovaires, avec toute sa richesse nécessaire et indispensable. Donc, on n’aura pas les mêmes qualités, on aura des bâtards ou des dérivés qui seront des similis mais non des identiques.
Ainsi, on appauvrit le patrimoine génétique de l’espèce humaine, on l’abâtardit parce que les gamètes parentaux ont déjà été endommagés en partie par des manipulations à basse température et oxydés au contact de l’air. Si on compare les enfants conçus de façon naturelle et ceux de manière artificielle, on constate des petites différences. Il faut donc, pour une reconstitution à l’identique, une protéine extrêmement riche. C’est pour cela que les ovaires de la femme sont d’une extrême importance et leur richesse est irremplaçable. C’est pour cela aussi qu’après les accouchements et après les grossesses, le système immunitaire de la femme change. Cette richesse protéinique n’est plus la même qu’auparavant.
C’est aussi pour cela qu’après les accouchements, le système endocrinien de la mère souffre de carences car le fœtus a pompé les réserves en magnésium et en vitamines de la mère, ce qui explique l’apparition de psychoses après les accouchements et donc la nécessité impérieuse des compléments nutritionnels.
La protéine est un élément nécessaire, indispensable et primordial à la vie cellulaire, donc à notre existence.
On nous a appris que les protéines étaient des structures moléculaires alors qu’en fait, il s’agit très probablement de nano-bactéries parce que sous cette molécule, dans cette molécule, on a des micro bactéries infinitésimales que l’on ne peut pas encore observer avec nos microscopes. La protéine constitue la sécrétion des nano-bactéries. Cette sécrétion est différente pour le cerveau, différente pour l’occipital, pour la partie temporale, pour l’hippocampe, pour l’anus, pour tout ce que vous voudrez. La protéine va avoir des éléments constitutifs identiques mais aussi particuliers. La cellule, elle, va réagir et se développer au contact de cette protéine, elle va se différencier à son contact. C’est pour cela que nombre de maux musculaires ou autres se trouvent résulter des déformations des structures spatiales des protéines (fibromyalgies, vitiligo, maladie de Creutzfeld-Jakob).
Les effets secondaires de l’insémination artificielle
Congeler du sperme, qu’il soit issu du taureau ou de l’homme, constitue une agression et provoque une oxydation partielle des cellules sexuelles. Cela explique, en partie, les échecs rencontrés dans l’insémination artificielle. La vache va enregistrer dans son corps un événement non naturel puisque la laitance reçue est froide alors qu’elle devrait être chaude. Les échanges intercellulaires seront beaucoup moins rapides, le métabolisme aussi, ce qui peut entraîner une dégénérescence lente et progressive de l’espèce. Songez au contact glacial d’un cadavre : les échanges intercellulaires sont nuls. Pour fonctionner au mieux, les enzymes ont besoin d’une température optimale, ce sont des lois biologiques spécifiques à chaque espèce.
L’insémination de sperme congelé va tout d’abord provoquer un spasme au niveau de l’appareil sexuel de la vache, lui frigorifier les voies génitales. Cela va enclencher une réaction allergique de la cavité vaginale et utérine et aura un impact négatif sur le monde bactériel, constitutif des cellules de ces organes. Aussi, les capacités de fécondité seront amoindries…
Cette réaction allergique va fragiliser la vache elle-même et se transmettre à sa descendance. La génération suivante en sera marquée, mais aussi la femelle gestante elle-même.
Alors que pratiquement toutes les vaches destinées à la boucherie sont inséminées de façon artificielle, l’amélioration des espèces de taureaux ne s’effectue pas par l’insémination artificielle. En fait, les éleveurs ont encore l’intelligence d’utiliser la fécondation naturelle pour la sélection.
Selon les vétérinaires et les inséminateurs, l’insémination artificielle semble être sans conséquences pour la vente de la viande de table. Il en résulte cependant que toute la chaîne du bétail, inséminée de cette façon, est allergisée. Actuellement, les vaches ne sont pas conservées au-delà de cinq ans. Les phénomènes se poursuivent avec les veaux. Il faut savoir que la viande que l’on consomme est carencée, aussi devient-elle allergisante pour le consommateur. C’est pourquoi de plus en plus de nutritionniste déconseillent aujourd’hui les viandes et on observe un nombre croissant de végétariens.
De la même manière, lorsqu’une femme est inséminée de manière artificielle, elle est aussi allergisée et sa descendance également. Nous pouvons encore aller plus loin dans cette logique.
Que devient l’homme donneur de sperme ? Comme dit un bon curé, « on bénit le goupillon et la croix dans le bénitier du diable ». S’il y a un échange bactériel allergisant, l’homme aussi va devenir allergisant et le couple sera allergique !
Il existe un certain nombre de situations d’infécondité de personnes ayant emprunté ces méthodes artificielles et dont la descendance porte des déficiences dans son génome. On n’a pas encore assez de recul pour voir ce que cela donne sur plusieurs générations mais les parents ainsi fragilisés font courir un risque non négligeable à leur descendance. Cela s’observe déjà de nos jours avec l’essor des allergies. Certains enfants ont des troubles psychiques, mais ce n’est pas le cas général, d’autres ont des troubles endocriniens ou sont sujets aux infections chroniques.
Le clonage : un leurre non dénué de conséquences
Adolescent, j’avais entendu des remarques faites par mon père, un ingénieur chimiste, qui reprochait à ma mère d’acheter des cristaux de soude à la place des poudres. Son raisonnement était logique : les cristaux, de belle apparence, n’étaient issus que des poudres cristallisées dans de l’eau. Le commerçant avait donc vendu l’eau de cristallisation au prix de la poudre. C’est un petit profit… Depuis, on a fait beaucoup mieux. Dans le domaine agroalimentaire, les supercheries abondent : les cultures hors-sol, les OGM. Seule l’apparence compte. Peu importe si la composition chimique est différente, même si elle est notoirement insuffisante, notamment en acides aminés, en vitamines, ou incompatible avec notre métabolisme, voire si elle entraîne des mutations, des maladies immunitaires et des cancers… Tel est le prix de la quête inconsidérée du profit.
En biologie, les leurres ne manquent pas non plus : les clones permettent, par exemple, de créer des veaux sans système immunitaire ni endocrinien, ou des autogreffes où l’on prélève, par exemple, à un sujet des cellules malades pour les refournir ensuite.
Le clonage industriel des veaux nécessite, pour leur survie, des injections répétées d’antibiotiques et d’hormones. En visitant un élevage de ce type en Bretagne, l’employé devait me confier que le taux de pertes était élevé, de 30 à 40 % au cours des six premiers mois, et qu’il était judicieux, au vu des risques, d’abattre les veaux clonés dès six mois.
L’usage des antibiotiques induit des mutations bactériennes en série, ainsi que des germes de plus en plus dangereux, c’est un facteur éventuel de maladies infectieuses graves sur des sujets en déficit immunitaire.
Les hormones, injectées à répétition, se retrouvent dans l’assiette du consommateur, même à l’état de traces. La qualité nutritive de ces viandes est douteuse car elles manquent de certains acides aminés : vous l’avez constaté, le volume est très réduit après cuisson, ce qui rejoint l’excès d’eau dans les cristaux de soude de mes souvenirs d’enfance… Il en résultera, en outre, des carences en acides aminés pour le consommateur.
A suivre : Les profits des financiers du clonage nous aveuglent