Le Pr Herzog a publié un livre remarquable sur les OGM
Ce grand visionnaire nous alerte sur les catastrophes qui nous attendent.
Le livre du Pr B.Herzog analyse les conséquences d’une alimentation antiphysiologique – c’est-à-dire artificielle – que l’industrie alimentaire propose sans relâche depuis de nombreuses années au consommateur.
Nous devons lui être reconnaissants d’avoir mis l’accent sur les répercussions engendrées par la consommation de cette nourriture frelatée, telle que les molécules de synthèse, le sucre (en particulier le sucre cuit), les produits raffinés industriels, désormais présents dans toute l’alimentation végétale, animale et humaine. A cela, nous devons ajouter les « OGM » dont on nous dit qu’ils sont sans danger ! Fort heureusement, le public – déjà échaudé par de précédentes erreurs d’appréciation des « experts » - ne s’en laisse plus conter et s’oppose à cette cuisine du diable avec violence et fermeté.
Jacqueline BOUSQUET
Docteur ès sciences
Biologie – biophysique
Chercheur honoraire au CNRS
Le plus simple serait d’empêcher les cancers de se déclarer du moins de façon visible.
Lorsqu’on fait l’autopsie de vieillards, on constate, en effet toujours la présence de petits cancers … guéris spontanément à des stades variés et sans que l’intéressé en ait eu la moindre conscience. 80% des jeunes Américains tués au Viêt-nam présentaient des mini cancers de la prostate.
Il est maintenant avéré que l’organisme sain est équipé … depuis trois milliards huit cent millions d’années qu’il existe … pour lutter contre les cancers, tout comme il est armé pour juguler les infections bactériennes ou virales. Les infections bactériennes ou virales. Les microbes et les virus sont nos commensaux ; les associés et les symbiotes de nos cellules depuis leur origine commune ; la petite plaie qu’on se fait en se rasant ou en se piquant avec une aiguille ne dégénère plus, Dieu merci ! Qu’exceptionnellement en septicémie. Cela n’arrive que si notre harmonie naturelle a été sabotée par les toxiques ou le stress : tous les microbes et tous les virus étrangers sont opportunistes.
Un cancer ?
Dès que le désordre cellulaire a été détecté, notre police interne fait son devoir et tout rentre dans l’ordre. Pourquoi arrive-t-il à cette « police » de baisser les bras ?
Parfois pour des raisons génétiques : il y a des gènes qui provoquent des cancers, et d’autres qui les inhibent.
Des substances sont cancérigènes par exemple les goudrons. Des rayonnements comme les rayons X favorisent les cancers.
L’énergie nucléaire est dangereuse, non pas tant lorsqu’elle respecte, réellement, les normes occidentales actuelles et futures, mais lorsqu’elle est gérée par l’incurie soviétique comme à Tchernobyl ou à Mourmansk…
Le rayonnement solaire est cancérigène sur une peau blanche. Les Arabes et les Touaregs s’en protègent comme de la peste mais pas les Occidentaux, aveuglés par le snobisme.
D’autres causes sont méconnues : elles englobent tout ce qui perturbe l’harmonie physique et mentale de l’être humain, même si cela est ressenti, dans l’immédiat, comme agréable, comme c’est le cas pour les « drogues ». 2
Il existe une « pollution visuelle » : les jeux de couleurs agressives, scintillantes, clinquantes et rapidement changeantes qui saturent les villes dès la tombée du jour, affolent l’équilibre endocrinien.
La « pollution sonore » est plus connue bien que fort peu combattue ? Il s’agit là d’un stress non négligeable, cancérigène, comme tous les autres.
Cancérigène donc le petit chef névrosé qui se venge de son impuissance sur ses employés qui ne peuvent riposter.
Les conflits intérieurs non résolus génèrent un mal être, lequel peut déboucher sur une névrose, une psychose ou un cancer – qui est « un délire cellulaire », conséquence d’un délire de l’esprit subconscient. Notre esprit subconscient (que Freud désignait sous le nom de « pré- conscient » et Jung nommait « la zone d’ombre ») est, en effet, pour le meilleur comme pour le pire, en prise directe avec notre corps, ce qui n’est pas le cas de notre intelligence consciente et critique.
Il y a aussi des cancers iatrogènes par excès de zèle, surtout de la part des chirurgiens : « on croit curer la cause alors qu’on ne fait qu’occulter un symptôme ».
La cause … Il faut se donner la peine de la rechercher et ne faire appel au chirurgien qu’en tout dernier ressort.
Certains « surmoi » dont les gens sont très fiers, sont asphyxiants (par asthme) ou cancérigènes, si on ne se révolte pas contre eux.
La frustration permanente favorise le cancer ou au moins le trouble de l’organe frustré : sexuel, verbal, auditif, visuel.
Certains mots sont des germes de la mort, tout comme, la trahison d’un ami.
Le Professeur Herzog nous rappelle ce qui fut une des idées essentielles des Grecs anciens : la Hubris, la « démesure ». Elle était le seul crime que les dieux grecs, par ailleurs forts arrangeants, ne pardonnaient jamais.
La Hubris est le fait de pousser n’importe quelle idée, fut-elle la plus logique ou la plus sainte, jusqu’à ses extrêmes conséquences logiques. En politique, l’ordre parfait est une dictature de termitière, la liberté parfaite
est une anarchie, plus sanglante encore, qui pousse les gens à se jeter dans la pire des tyrannies qui leur semble alors préférable. La Foi et la Charité chrétiennes ont conduit très logiquement aux tortures et aux bûchers de l’Inquisition qui s’érigeaient au nom d’une charité bien comprise.
Dans sa tragédie « Héracklès », Euripide a montré Hercule châtié par les dieux pour avoir voulu être parfaitement vertueux : Lyssa, la Folie, est venue s’asseoir à son foyer, alors Hercule a étranglé sa femme et ses enfants. Après quoi, les dieux lui ont rendu la raison afin qu’il sache qu’il doit rester demeurer uniquement dans le domaine des idées et des dieux, tandis que les hommes doivent humblement se contenter de « ce qui marche, en pratique ».
Tous les excès sont mortels, celui de vertu comme celui d’hygiène. Les produits qui font si merveilleusement étinceler le cristal sorti du lave-vaisselle contiennent des précurseurs des oestrogènes qui, après passage dans les nappes phréatiques, provoquent une atrophie de tous les organes génitaux mâles, externes ou internes, et la baisse considérable du taux de spermatozoïdes que l’on constate partout depuis une vingtaine d’années non seulement chez nos « jeunes » mais aussi chez nos grenouilles et chez les crocodiles de Floride.
Le « vrai mâle » deviendra probablement une denrée rare que « celles qui en ont les moyens » importeront pour leur usage, des pays sous-développés où l’hygiène est encore rudimentaire. D’aucun disent que cela se pratique déjà.
De nos jours, le darwinisme trop strict est remis en question. Certes, il n’est pas question de cautionner la mythologie créationniste, ni de verser dans l’absolutisme délirant de Lyssenko et de Mitchourine ; cependant, d’après plusieurs publications récentes, il semble bien que l’esprit des êtres vivants puisse modeler, en bien comme en mal, non seulement le corps (« après quarante ans on a la gueule qu’on mérite ») mais aussi les gènes.
La peur impuissante, l’humiliation injuste des enfants juifs de Pologne, les coups qu’on ne peut rendre, les deuils, les espérances frustrées … tout cela engendre habituellement des névroses, des psychoses, des diabètes insulino- dépendants, des déséquilibres thyroïdiens et des cancers … mais aussi une proportion ahurissante de génies : « Ce qui ne me tue pas, me rend plus fort ».
Arthur Koestler se posait déjà la question : n’est-ce pas trop cher payé ?
Comment traiter un cancer ?
S’il n’est pas trop tard … et un bon médecin ne doit jamais « baisser les bras », il faut remonter à la cause première ou, au moins adjuvante, qui est en général un stress ou une dysharmonie.
Voici par exemple un patient qui présente un cancer du larynx ou du poumon, provoqué par son alcoolo- tabagisme lequel est dû à sa « fixation au stade oral » décrite par Freud, conséquence du fait qu’il ait été privé du sein maternel ou de son substitut : l’amour absolu permanent et inconditionnel de sa mère (qui se trouvait avoir autre chose à faire). Il en a résulté un mépris inconscient de soi avec un désir d’auto- punition et/ou un besoin, très conscient lui, de plaisirs oraux de substitution.
Le traitement ? Encore une fois il n’est jamais trop tard pour l’appliquer car on voit des guérisons « miraculeuses » de cas désespérés ou encore des cancers qui cessent tout bonnement d’évoluer. C’est d’abord et surtout l’amour de la vie. De la vie saine, c’est-à-dire exempte de toutes les drogues légales ou des autres, dont on n’a pas toujours conscience. Et puis, il faut s’accepter tel qu’on est ; à la fois ANGE, par notre « Surmoi » intelligent, critique et moral, et BETE par notre cerveau reptilien, siège de l’instinct sexuel, sans lequel nous ne serions pas là, de l’instinct de conservation, qui nous a évité bien des accidents, de notre instinct grégaire, ciment de l’Etat et enfin de notre sadomasochisme, ce passager clandestin qui prend le pouvoir si on nie son existence.
Ce sont les conflits que nos quatre instincts animaux peuvent avoir entre eux, et avec notre Surmoi exclusivement humain lui, qui provoquent les névroses ainsi que tous les délires de l’esprit et du corps.
Si, en revanche notre « Surmoi » intègre ces pulsions animales, elles deviennent le moteur de toute civilisation.
Les enseignements qui placent la culpabilité au centre de l’existence sont, à terme, mortels.
Le médecin n’a pas à se fourvoyer dans ce panier de crabes qu’est la théologie (la branche la plus farfelue et la plus sanglante de la science- fiction), sa vocation est de guérir c’est pourquoi il s’appliquera à déculpabiliser, détendre et enseigner l’amour de la vie.
A force de flirter avec la mort, on finit par coucher avec.
La psychanalyse peut aider, à condition que l’analyste soit bon et le patient intellectuellement assez souple.
La sophrologie utilisée par le Professeur Herzog, sera sans doute la méthode de choix car elle permet de « faire le ménage » dans le subconscient du sujet et d’y implanter des suggestions positives. Cette technique n’est pas encore enseignée dans les facultés et ne pourra jamais être mise entre toutes les mains car elle confère une puissance démesurée, pour le meilleur ou pour le pire, sur le sujet traité.
Cependant, on ne guérit pas à son corps défendant ? Le masochisme heureux existe, le médecin n’a pas à juger, mais à guérir. La médecine est non seulement une science qui peut s’apprendre, mais aussi un art qui est un don de Dieu.
Le déséquilibre, la dysharmonie pathogène peut être provoquée par un grand bonheur ; la réalisation d’un but longtemps désiré ne vous laissera plus rien à espérer, à attendre … que la mort. Tout le mécanisme endocrinien et immunitaire baisse alors les bras.
Si vous ne désirez que le Prix Nobel, que ferez-vous après l’avoir eu ? On connaît le cas authentique d’un Prix Nobel de Médecine, qui avait programmé toute sa vie dans ce but, et qui a fait une dépression mortelle après l’avoir atteint.
Le Pêché Originel, si cher à Saint Augustin, marque le début de l’Humanité.
Avant le pêché originel l’Homme, comme le tigre, l’araignée, la coccinelle, et les autres créatures de Dieu ne faisait que suivre son instinct, sans se demander si c’était Bien ou Mal. Tout de suite après avoir choisi la liberté, la question s’est constamment posée : « j’ai furieusement envie de faire ceci, mais cela me semble plus convenable. Dans le doute … je choisis l’ulcère à l’estomac … ou le cancer ». Saint Augustin n’avait pas tort : être Homme est cancérigène.
Certes, il y a une autre solution : recracher le fruit de l’arbre de la Science du Bien et du Mal. Renoncer à juger par soi-même. Rendre cette fonction à Yahvé Dieu ou, s’il persiste dans son silence, la confier au caïd de son quartier, au gourou dont on dit tellement de bien, à l’intégriste, au Führer qui ne se trompe jamais … Voilà la porte secrète qui permet de réintégrer le Paradis Terrestre des digestions paisibles et des crimes sans remords ; en compagnie des tigres, des araignées, des coccinelles et des autres créatures de Dieu.
On pourrait nommer « le complexe d’Adam après la faute » cette désorientation, cette angoisse de « chien perdu sans collier » qu’éprouvaient les prêtres et les communistes défroqués … et aujourd’hui les échappés des sectes, promis au cancer.
Le philosophe Louis- Andréas Feuerbach avait fait graver sur sa tombe, à Rechenberg, ce qu’il estimait être sa pensée essentielle : « Der Mann schuf Gott als sein Ebendild ». L’homme créa Dieu à son image et ressemblance.
C’est si vrai que cela peut servir de test psychologique : « Dis-moi comment tu vois Dieu et je te dirai qui tu es » : un doux hippy qui, aux petits oiseaux, donne la pâture. Le génial horloger qui a tout prévu. Le paranoïaque obsédé sexuel qui passe son éternité à taper sur les doigts de ceux qui jouent à touche- pipi autrement que selon le mode d’emploi officiel qu’il a promulgué. L’humoriste noir qui se marre à en taper son Divin Derrière sur le bord des cumulus en regardant les conneries que font les humains, qu’il a d’ailleurs créés farfelus exprès pour cela (j’ai lu quelque chose de ce genre dans le Talmud. Cela doit être à l’origine de l’humour juif). Pour Jansénius, Dieu est un tortionnaire sidéral et sidérant qui fait payer (très cher) aux autres ses propres erreurs de programmation.
Le Professeur Herzog le voit comme l’âme de l’Univers. Les mécaniques quantique, newtonienne et einsteinienne sont des parcelles de Sa physiologie tout comme les milliards de milliards de planètes dans les milliards de galaxies sont des éléments infimes de Son corps.
Le Professeur Herzog n’a pas l’outrecuidance de prétendre connaître Ses projets : le globule blanc, dans le sang d’un tailleur de pierres, croit peut-être qu’il donne la chasse aux microbes pour son propre plaisir.
Le Professeur Herzog se borne modestement à guérir les gens en leur apprenant à être heureux.
Je pense qu’il doit être plus agréable de vivre avec lui qu’avec feu Corneille Jansen dit Jansénius, Evêque d’Ypres, mort de la peste en 1638. Que Dieu ait son âme … mais plutôt le Dieu du Professeur Herzog que le sien.
Cyrille KASZUCK
Médecin généraliste en retraite
Ecrivain
* Pr. Bernard HERZOG -
De nouvelles pistes pour guérir le cancer -
Les éditions du Gram Inc
Montréal – Québec - Canada
Le Pr Herzog est un gêneur
Il ne se passe pas une année sans que l’on apprenne le rachat ou la fusion de plusieurs grosses entreprises pour en constituer une multinationale bien plus importante encore, dont le chiffre d’affaires dépasse, et de loin, le budget de la plupart des Etats dits « souverains » qui siègent à l’ONU. Ces entités ne tiennent aucun compte des frontières ni des gouvernements nationaux. Elles ont une capacité de corruption, d’intimidation et d’élimination des gêneurs, supérieure à celles des Etats car elles ne sont contrôlées que par elles-mêmes.
Les très grands groupes pharmaceutiques actuels font partie de ces multinationales et le Pr Herzog les gêne car l’écoute de celui qui souffre ne coûte rien, car la musique de Mozart est dans le domaine public, même si elle est filtrée à travers de l’eau dont la pression osmotique est la même que le liquide amniotique dans lequel nous sommes formés et que la psychothérapie des cancers et des états précancéreux donne des résultats supérieurs à ceux de la chimiothérapie, alors qu’elle ne demande que de l’intelligence, du temps et de l’amour pour son prochain.
Nous savons depuis Montesquieu (L’Esprit des lois, 1748) que tout pouvoir doit être assorti d’un « contre-pouvoir » sans le contrôle duquel il dérive fatalement vers le despotisme et vers ce que les Grecs anciens nommaient « hubris », la démesure, le seul crime que leurs dieux ne pardonnaient jamais et qui entraînait toujours, à terme, des sanctions terrifiantes. Relisez Euripide.
Qui pourrait, en France, contrôler le pouvoir des grands groupes pharmaceutiques internationaux ?
Les fonctionnaires du ministère de la Santé ?
Ils ont bien trop à faire par ailleurs. L’enseignement post-universitaire des médecins ? Mais il est surtout financé par cette industrie pharmaceutique. Les médecins ? En ont-ils le temps et les moyens ?
Certains sont des saints et j’en connais, mais ces derniers sont rares, débordés, et l’industrie pharmaceutique dispose de moyens pour les neutraliser.
La presse professionnelle ? Il n’existe en France qu’une seule petite revue médicale qui refuse encore la publicité et les articles des laboratoires.
Si les dirigeants des grands groupes étaient lucides et cultivés, ils obtiendraient le Prix Nobel au Pr Bernard Herzog et l’admettraient dans leur directoire car il représente le contre-pouvoir dont ils ont besoin : celui de l’intelligence désintéressée.
Dr Cyrille KASZUK
Médecin généraliste en retraite
Ecrivain
* Docteur C. Kaszuk –
Le professeur Herzog est un gêneur
– Votre Santé n°100 - 2008