Quant au clonage, au recopiage de l’être humain par lui-même sur lui-même, c’est en apparence une merveille de technologie. Les possibilités d’emprunts à l’individu cloné, les possibilités de transfert d’un humain à un autre humain, les possibilités de croisement entre l’animal et l’homme… semblent ouvrir un horizon infini.
Et pourtant, cette ouverture va engendrer plus de déceptions que de bienfaits. Le recopiage ou la gémellisation forcée de l’homme à partir de cellules extérieures va apporter une déformation de la vie et des souffrances nouvelles qui ne pourront jamais être intégralement contrôlées. Regardez les difficultés rencontrées pour engendrer des copies d’animaux (histoire des brebis Dolly, Polly, et plus récemment des souris…). Regardez les difficultés qu’eurent les propriétaires de ces animaux pour non seulement les féconder mais aussi pour les soigner. Ils ne sont plus « viables
» car ils ne peuvent plus être mis dans l’état normal du monde naturel et de l’environnement ordinaire.
Le tripotage de ces matières est à la fois aisé et malaisé. Si on commence à mieux maîtriser ces techniques, il devient malaisé et malséant de vouloir toucher à tout. En jouant à l’apprenti sorcier en manipulant les lois génétiques qui ont gouverné les espèces jusqu’à présent, pour le plaisir financier et la gloire médiatique de quelques-uns, nous aurons quelques surprises désagréables. L’ensemble des espèces pourra certes muter plus aisément mais en entraînant la dégénérescence de l’espèce humaine ou sa disparition.
L’homme doit être libre de décider de son propre devenir
Autant je suis clairement pour les innovations industrielles qui favorisent le confort réel de l’homme et son développement, autant je m’élève contre toute innovation, tout développement industriel qui engendre, génère des évènements non contrôlables pour l’homme.
Il faut savoir ce que l’on veut. Voulons-nous ou non promouvoir l’enrichissement capitalistique de quelques groupes industriels ou financiers et ouvrir la voie indirectement à un engoncement de l’homme dans des fonctionnements quasi-dictatoriaux ? Ou bien voulons-nous que les humains vivent en étant eux-mêmes et que l’homme conserve sa liberté non seulement de penser mais aussi de se mouvoir dans un corps sain et non dans un corset de désagréments ?
En effet, plus on corrompt notre système organique par une alimentation non conforme à ce qu’il peut attendre par rapport à sa composition biochimique, plus il risque de se confronter à des mutations génétiques importantes qui peuvent engendrer à leur tour des déformations non plus organiques mais génétiques en chaîne. La manipulation des gènes devrait être abordée avec une prudence extrême et d’immenses précautions, je dirais avec une attention sacrée.
Vous avez en mémoire cette maladie de Creutzfeld-Jakob, dite de la vache folle », qui a fait peur à des millions de personnes. On vous a rassurés en vous certifiant que cette maladie ne pouvait se transmettre d’une espèce à l’autre. Et pourtant, cela existe. De nombreux chercheurs rappellent que beaucoup de maladies peuvent effectivement passer la barrière des espèces aussi aisément qu’un coureur peut sauter les obstacles dans une course de haies. A travers notre alimentation végétale ou animale génétiquement modifiée, c’est le même principe : simplement, c’est invisible à nos yeux, mais visible aux yeux des cellules.
Nous avons pris l’habitude de traiter la masse humaine, de traiter l’homme comme une vulgaire machine, ou comme une vulgaire tige végétale. Il est urgent de réapprendre que l’homme n’est ni un végétal ni une machine. L’homme est l’homme et il doit être respecté dans son intégrité physique, physiologique et chimique. Si nous désacralisons l’homme, nous désacralisons la vie. Si nous tombons dans cette désacralisation, nous tombons dans le néant, et l’homme pourrait se voir rayé de la carte terrestre, ou du moins se retrouver gravement affaibli et vulnérabilisé par rapport à son essence première. C’est beau de voir l’homme créer quelque chose de neuf, mais c’est effarant de voir l’homme être écrasé et mutilé.
III. Les protéines et les pollutions chimiques
Qu’entendons-nous par polluants chimiques ? Ce sont tous les métaux et toutes les compositions chimiques, naturelles ou artificielles, voire des associations de plantes contraires à l’eutonie de notre corps, donc à notre santé. Ces composés peuvent être transformés par des sources de chaleur ou des bases alcooliques, injectés ou ingérés en des dérivés ou des extraits plus ou moins bénéfiques. On a donc des associations, des recompositions de produits où on retrouve des sulfures, des carbonates, des dérivés potassiques, etc. …
La masse protéinique va les absorber, soit par contact, soit par ingestion. Cela peut être des contacts dermiques, des ingestions par voie orale ou des injections. Tout cela va d’abord se répercuter dans le milieu cellulaire hépatique et intestinal, dans les échanges microbiologiques, micro-bioélectriques au niveau des constituants protéiniques. Si nous apportons des qualités différentes de ce que nos constituants cellulaires ont l’habitude depuis des millénaires de métaboliser, même en quantités plus ou moins faibles, il y aura des conséquences. Ces produits, au contact du système protéinique, vont subir une aspiration plus ou moins avide, car le système protéinique s’empare de tout ce qui lui est présenté. Il n’est pas capable de faire le choix entre ce qui est bon et ce qui est mauvais pour la santé de notre organisme, il n’y aura donc pas de rejet ; cela est très important à signaler et à retenir.
Cette pollution chimique va provoquer des dégradations de la masse protéinique elle-même, au lieu de l’enrichir, elle va la dégrader. Ces dégradations se passent, en général, par étapes. Or, cette masse protéinique peut inonder le monde organique en cascades. On commence ainsi par infecter la partie atomique avant d’infecter la partie cellulaire. C’est bien pour cette raison que les mutations vont apparaître dans un laps de temps plus ou moins long après la première absorption. Il s’agit donc une invasion lente.
Vous me direz, lorsqu’il y a une intoxication par un poison, le sujet arrive très vite dans le labour du champ de sa vigne. L’expression est rapide. Dans ce cas, le poison ne touche pas au niveau de l’essence, de la structure, mais seulement au niveau sanguin, c’est-à-dire qu’il va y avoir destruction, une paralysie du système circulatoire par appauvrissement en oxygène et variation des champs électromagnétiques. Le décès peut survenir dans les minutes ou les heures qui suivent l’absorption d’un produit toxique.
Dans le cadre de l’infection protéinique, la manifestation peut mettre un certain temps à être découverte, parce qu’il y a un fonctionnement dénaturé ou des mutations des caractéristiques primaires de la protéine. C’est donc un facteur d’appauvrissement au profit d’un autre élément. Cela peut être un élément azoté, carboné, un oligoélément ou une variation acido-basique. Si cela varie d’une virgule un peu déplacée un peu plus ou un peu moins, on peut avoir une progression qui crée un nouveau système mycogènique. D’où l’apparition à plus ou moins long terme de mycoses. Vous savez comme moi que les mycoses se développent sur terrain acide. Ce développement mycogènique peut se stabiliser ou non, tout dépend de la quantité apportée régulièrement, donc de la nature chimique du polluant, ce qui aura pour conséquence d’apporter des mutations génétiques dans la descendance.
Pour quelles raisons ?
Lorsqu’un couple se forme, il y a un échange bactériel au niveau du sperme et de l’ovule, c’est-à-dire des gamètes. Cette matière primordiale va apporter les éléments initiaux où il y a une égalité entre l’apport féminin et masculin. Ils seront la source première de l’individu qui va en résulter. C’est pour cela qu’on dit qu’un gamin porte les gènes du père et de la mère, ou des deux. Cela est inévitable et constitue notre propre héritage successoral, lequel comporte l’histoire ou la somme des histoires des différentes générations passées. Notre génome constitue la somme intégrale des générations passées car nous sommes le réservoir vivant des histoires ancestrales, depuis le départ de la souche humaine, jusqu’à notre propre existence. Cela constitue notre héritage sacré, l’apport ancestral de chacun.
On va pouvoir observer au travers de l’analyse protéinique toute l’histoire des pères et mères, grands-parents, arrières grands-parents et ainsi de suite, leurs heures de bonheur et de malheur. Lorsqu’en consultation clinique, on a un cas d’épilepsie résistant aux thérapeutiques, on peut retrouver parfois l’ancêtre qui s’est livré à l’alcoolisme, cela peut remonter à la sixième ou septième génération : « le grand-père s’enivre et le petit fils trinque », dit-on. Si le grand-père Louis a eu la frousse de sa vie, il a paniqué, et cela a entraîné une certaine dégénérescence de son génome, mais lorsque la grand-mère Juliette a elle-même essuyé de gros ennuis digestifs, elle a réussi à en guérir, et bien ces deux histoires se répercutent dans la composition protéinique du petit fils. C’est pour cette raison que lorsqu’on apporte un élément chimique de type antibiotique ou un similaire, bref une molécule de synthèse, il y aura toujours une répercussion secondaire avec une plus ou moins grande résultante. C’est pour cela que chez les descendants, il y aura une mémoire donnée de résonance, un mouvement rappel de l’ensemble de ces histoires. C’est pour ces raisons biologiques incontournables que chez le petit dernier que le père François a conçu avec sa bourgeoise, un petit dernier non prévu, il y a eu une différenciation par rapport à tous les précédents. Le nouvel arrivant aura toujours un univers différent de la fratrie précédente. C’est pour cela que dans une fratrie, il y a toujours une individuation personnelle.
Pour avoir une identité pratiquement similaire et juste, il faudrait qu’il y ait cinq ou six naissances en même temps, donc cinq ou six conceptions gémellaires. Les naissances gémellaires sont-elles un parfait identique ? Les naissances gémellaires ne sont jamais réalisées en même temps, on a toujours une différence, même s’il s’agit du même œuf. Parce que dans le même œuf, il y aura deux histoires différentes, l’histoire de deux petits spermatozoïdes différents. Chacun est porteur d’une différence, même si elle est minime. Si c’est donc deux œufs, il peut y avoir effectivement deux vagues différentes, une riche et une pauvre. Lorsqu’il y a plusieurs fœtus, notamment dans les fécondations in vitro, par exemple, la qualité protéinique inhérente s’associe à une quantité nécessaire de spermatozoïdes. La qualité du premier, du plus vieux, sera par conséquent plus forte que celle du plus jeune, c’est-à-dire du dernier venu. En général, le produit n’est pas viable ou très peu viable. Un prématuré d’un mois comporte beaucoup de faiblesses et ainsi de suite. Chaque histoire se répercute sur les protéines, il n’y a pas de hiérarchie dans les histoires, il n’y a pas d’ordre. C’est tout à fait anecdotique, mais cela est entré en mémoire et reste en mémoire.
L’espèce est donc toujours mutante, je n’ai pas dit dégénérative. Avec l’introduction de toutes les molécules artificielles, cela crée un grand nombre de pollutions qu’on enregistre. On fabrique ainsi des mutations en série plus ou moins heureuses, donc un renouvellement plus ou moins heureux de l’espèce.
Cela constitue toujours une adaptation. La matière vivante doit s’adapter par rapport au milieu dans lequel elle baigne, par rapport au froid, au chaud. Vous allez avoir des sujets, hommes ou femmes, qui vont résister à l’intoxication au plomb ou au cuivre. La survivance va s’adapter et donnera une mutation plus ou moins résistante à ce produit : l’espèce humaine est donc soumise à des mutations permanentes. Il y a cependant toujours des déchets, c’est-à-dire des êtres qui ne seront pas capables de survivre parce que l’ensemble bactériel est devenu défavorable. La mutation bactérielle peut produire de nouvelles bactéries complètement différentes. La mutation est permanente, il y aura toujours des mutations qui vont générer des souches résistantes, lesquelles vont se développer dans des milieux protéiniques plus ou moins favorables pour eux. On aura soit une assimilation favorable, soit défavorable au sujet. L’organisme vivant est un milieu bactériel. Arrive une bactérie différente, parasitaire ou non, elle va se marier, fusionner, faire l’amour pour créer un nouveau produit. Arrive un troisième individu, un nouveau parasite, qui apporte, par exemple, une unité de plomb, il va être soit rejeté, soit absorbé. S’il est absorbé, la nouvelle masse va se développer : A devient A bis ou A’. Si B se marie avec A’, cela va donner A’B, donc une nouvelle souche, qui ne sera jamais malade. Mais si A se marie avec B, AB doit disparaître, etc. Les descendants d’Hiroshima ou Tchernobyl vont en général disparaître mais certains pourront rétablir un équilibre. Ils vont procréer de façon à remplacer les disparus, ce sont les mutations de l’espèce. Il en a été de même au cours des épidémies de peste au Moyen-Âge : un sujet sur mille cas de pestes déclarées survivait en s’adaptant, c’est la loi de la guerre. C’est pour cela qu’on trouve des prostituées résistantes au Sida en Afrique,
La protéine, c’est le lait des gènes et des chromosomes dans lequel s’impriment toutes les joies, les peines, les frayeurs, la peur de voir tomber le ciel ou la foudre sur vous. Et dans cet héritage génétique, il y a une mémoire du passé, de l’héritage parental transmis.
Le « lait » de cervoise comporte le sceau de l’imprégnation hypothalamo-hypophysaire, c’est-à-dire de l’hélice qui donne ce lait, lequel imprègne toutes les substances pour créer des échanges. Ce lait va apporter une cascade d’éléments nutritifs. C’est un composé de tout, il noie tout, observe toutes nos cellules, tout comme une mère donne le sein à son enfant. Vous savez que le lait maternel est constitué de la partie apicale des cellules des acini des glandes mammaires. C’est donc une partie constitutive des cellules de la mère, c’est un ensemble protéinique. Lorsqu’on trait une vache, on a un produit blanc qu’on appelle aussi le lait, lequel est émis chaud, à 37°. Il apporte des qualités nutritives plus ou moins importantes, il est plus ou moins souillé par les mains au cours de la traite. Si la bête est malade, elle transmet évidemment ses problèmes. Les bêtes qui résultent de l’insémination artificielle transmettent ainsi une fracture, une mémoire, de même pour celles nourries à ensilage.
Il y a donc une mutation permanente de l’individu. Au cours de son existence, il est obligé de s’adapter en permanence. C’est pour ça qu’il faudrait se reproduire jeune. Si un homme procrée à soixante-dix ans, l’enfant qui va naître aura évidemment plus de chances d’être moins résistant que celui qui a été généré à l’âge de vingt ans. Ce sera certes un sujet résultant de la même fratrie, de la même lignée, mais celui qui est conçu à l’âge de soixante-dix ans a subi des mutations mycogéniques, protéiniques, il sera soit plus frêle, soit plus lourdaud, soit plus ceci ou plus cela, il aura une mémoire différente, on parlait autrefois en nos campagnes de « queue de race »…
Une étude officielle de l’Institut Nationale de Recherche et de Sécurité (INRS) vient d’être publiée : 500 000 personnes susceptibles de manipuler des agents chimiques cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction ont utilisé, en 2005, près de cinq millions de tonnes de ces agents (CMR). Parmi ces agents CMR, on relève : - le dichlorométhane, utilisé par 40 000 employés de l’industrie pharmaceutique - le benzène, en chimie organique et en industrie pharmaceutique par 35 000 employés- le formaldéhyde, manipulé par 42 000 salariés - l’acide-aldéhyde (8500 salariés), le trochlorométhane (10000 salariés), le dichloroéthane (5600 salariés
Ce sont essentiellement des salariés de l’industrie pharmaceutique, mais la protection de ces employés est sous le contrôle du ministère du travail, donc des inspecteurs de la santé.
Si vous vous intéressez au monde agricole qui a généreusement dissipé 100 000 molécules de synthèse dans les champs, on aura des chiffres de centaines de milliers de tonnes de produits chimiques mutagènes, cancérigènes et toxiques. Chaque jardinier a utilisé ce genre de molécules. C’est pourquoi les hôpitaux du monde rural accueillent les rescapés en mauvais état de ces campagnes de traitements intensifs. J’ai eu à consulter un certain nombre de cas de tumeurs cérébrales se développant chez de solides cultivateurs venus me demander l’origine de leurs destinées funestes… « N’utilisez-vous pas les hexa chloro fluoro… ? », c’est-à-dire les pesticides ? Certes, il faudrait mettre un masque et s’en protéger, mais la mutation effectuée, il n’y a pas de retour possible à la situation antérieure.
Cette question étant déjà connue, je voudrais vous montrer comment un produit couramment utilisé est à l’origine de désordres psychologiques chez les enfants, ce qui est encore trop peu connu.
Etude des enfants hyperactifs, agressifs, insomniaques et violents « Dans une expertise collective, rendue publique jeudi 22 septembre, l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) fait le point sur une catégorie de symptômes psychiatriques jusqu’alors inconnue du grand public en France, le “trouble des conduites chez l’enfant et l’adolescent”. Issu des classifications cliniques anglo-saxonnes, ce syndrome, qui se caractérise par des comportements violents et répétés chez l’enfant et l’adolescent, toucherait, selon la littérature scientifique internationale, entre 5 et 9 % des jeunes de 15 ans. Bien qu’aucune étude épidémiologique n’ait été réalisée en France sur ce sujet, l’Inserm recommande le dépistage et la prise en charge précoce de ce trouble, en familiarisant les familles, les professionnels de la petite enfance et les enseignants à son repérage. L’expertise sur le trouble des conduites se situe dans le prolongement d’un précédent travail de l’Inserm qui, en additionnant des troubles aussi divers que l’hyperactivité, l’autisme, la dépression ou les troubles anxieux, affirmait, en 2002, qu’un enfant sur huit souffre d’un trouble mental. Cette fois, l’Inserm a choisi de mettre l’accent sur le trouble des conduites, un syndrome défini “par la répétition et la persistance de conduites au travers desquelles sont bafoués les droits fondamentaux d’autrui et les règles sociales”. Il s’exprimerait ainsi, chez l’enfant et l’adolescent, par une “palette de comportements très divers” qui vont “des crises de colère et de désobéissance répétées de l’enfant difficile aux agressons graves comme le viol, les coups et blessures et le vol du délinquant”. Cette définition très large découle de la classification arrêtée, en 1968, par la psychiatrie américaine dans le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), reprise, en 1977, par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans la Classification internationale des maladies (CIM-9). […] Pour l’expertise collective, le trouble des conduites, souvent associé au “trouble déficit de l’attention / hyperactivité”, “est le produit d’interactions complexes entre des facteurs individuels (facteurs génétiques, tempérament, personnalité) et des facteurs environnementaux (relations familiales, environnement social)”. Les études internationales estiment sa prévalence dans une large fourchette de 5 à 9 % des adolescents de 15 ans. En France, il existe une seule étude, menée à Chartres dans 18 écoles primaires et qui rapportait une prévalence globale de 6,5 % et de 17 % dans les classes adaptées. »
Les phosphates sont quasiment présents dans tous les aliments contenant des additifs. Leur utilisation est telle que, depuis dix ans, leur présence a augmenté de 300 %. Si les phosphates sont nécessaires à la croissance des enfants et au bon fonctionnement du corps, ils entraînent, lorsqu’ils sont en excès, de graves troubles du comportement.
Hyperactivité, violence, instabilité émotionnelle, difficulté de concentration en classe, insomnies, impulsivité, incapacité à s’adapter et s’intégrer, distraction permanente, morosité, susceptibilité exagérée, difficultés de langage et troubles du sommeil majeurs peuvent souvent être dus à cette overdose de phosphates. Mais, face à la vague des troubles lourds du comportement qui touche, depuis une décennie, des millions d’enfants des pays développés, la médecine propose une amphétamine nommée Ritaline. Cette drogue (interdite depuis les années 70 car elle servait de dopant aux sportifs) n’offre pourtant que peu de résultats et s’accompagne d’effets secondaires.
L’hypersensibilité aux phosphates concerne 5 % des filles et 10 à 20 % des garçons.
Observations adressées en consultation par le Dr F., pédiatre :
1. Julie, 3 ans et demi, 1 m, 17 kg
Hyperactif
PH plasmatique : 7,80 (au lieu de 7,39 à 7,41 la normale).
Nous avons donc une alcalose métabolique sévère et une alcalose respiratoire marquée
Moyenne stress oxydatif : 44 %, c’est-à-dire un grave déséquilibre métabolique acido-basique
2. Gaspard, 8 ans, 1,31 m, 26 kg
Hyperactif
Anxiodépressif, troubles de la mémoire, de la concentration
État dépressif : lassitude PH plasmatique : 7,28, inversement chez lui, nous avons une acidose respiratoire modérée et alcalose métabolique
Moyenne stress oxydatif : 38 %
3. Lucas, 9 ans
Hyperactif
Manque de concentration
PH plasmatique : 7,80, donc une alcalose métabolique marquée doublée d’une alcalose respiratoire marquée
Moyenne stress oxydatif : 18 %
Etant donné la similitude de la d’observations semblables effectuées par ce pédiatre, j’ai demandé de réaliser la même investigation sur les parents de ces enfants hyperactifs pensant : Lorsque les parents sont sains, ils vont engendrer une descendance quasi similaire.
S’ils génèrent une descendance énigmatique, c’est le signe qu’eux-mêmes ont d’énormes problèmes dus aux intoxications diverses ou à des carences complexes.
Ò Les observations du Dr F. sur les parents, confirmèrent mes réflexions : ils présentaient céphalées, migraines, sautes d’humeurs, bafouillage, tics, confusion sur les mots, énervement, névroses signifiant une absence de contrôle cortical sur le cerveau limbique, tics… Le contrôle statistique effectué grâce à un logiciel approprié montre une corrélation jamais atteinte en biologie (98 %) sur une centaine de cas.
L’origine physiologique : ce sont des carences gazeuses que l’on va retrouver au niveau des gaz du sang donc au niveau des échanges (ppO2 ppCO2) que l’on peut mesure grâce à l’électrosomatogramme.
Il en résulte une augmentation de l’activité physiologique et une saturation en micro-organismes bactériels (nos cellules sont constituées d’une symbiose de micro-organismes bactériels viraux et champignons (Lynn Marguliz) ou de métalloïdes qu’on va retrouver dans les modifications du fonctionnement et la constitution même des cellules, c’est-à-dire qu’au lieu d’une harmonie d’équilibre, on a des déficiences cellulaires qui vont amener dans la descendance à observer des déformations, un comportement déviant.
Les carences peuvent être minimes mais peuvent s’aggraver avec le temps par la suite au prorata du taux des carences et de la durée des carences.
Si les parents se sont enivrés de phosphates, saturés de potassium, on va avoir une énorme invasion potassique (cation K+) ou un invasion d’anions phosphates ; et si en plus, on donne en excès des anions phosphates aux enfants, cela ne fait qu’aggraver lourdement l’évolution.
Il va donc en résulter un blocage hormonal dans du développement endocrinien chez les enfants. Il va de pair avec le blocage neuro-endocrinien parental par ce que les parents ont donné dans leurs cellules un ensemencement physiologique déviant aussi va-t-on observer une table de résonance au carré !
On peut s’entêter à ne rien voir, on va constater par la suite une invasion carencique endocrinienne et hormonale dans la descendance.
Cela peut entraîner au niveau cérébral un difformisme de naissance parce que l’hyperactivité observée peut être due :
- à un milieu
- à une absence de regard sur l’enfant
- à un effet métabolique initial
L’utilisation dans un but thérapeutique de l’acide acétique (CH3COOH) de vin ou de cidre peu importe donne une réduction du déséquilibre gazeux en effet de façon plus ou moins importante, mais il n’est pas dénué d’effets secondaires multiples notamment sur le pancréas
La diète phosphatée donne de bons résultats pour les mêmes raisons car elle va remettre un taux gazeux (ppO2, CO2) plus conforme au niveau des échanges métaboliques.
L’hypersensibilité des garçons (10 à 20 %) aux phosphates vis-à-vis des filles en raison des métabolismes différents, mais chez les filles, on va retrouver des problèmes hormonaux ou ovariens à la puberté et au moment des possibilités de fécondation (stérilités…)
En résumé, ces troubles sont secondaires à une alimentation falsifiée (additifs…) mais d’autres facteurs sont également à considérer :
- la pollution aérienne gazeuse
- l’absence ou le manque d’exercice physique des parents
- les stress et angoisses, peurs
- les consciences morales perturbées par le reniement sacré, la culpabilité
- mais aussi par les conditions de transmissions génétiques qui vont donner des terrains fragilisés. Si on s’amuse à bricoler dans ce domaine-là –et il y en a de plus en plus actuellement…– on va engendrer des phénomènes plus ou moins graves qui vont se révéler à l’adolescence ou au début de l’âge adulte sous forme , par exemple, de scléroses en plaques.
Tout comme les carences gazeuses (ppO2) chez la mère au moment de la grande organogenèse peut donner des malformations majeures du système nerveux.
IV. Protéines et ondes électromagnétiques
Comment la masse protéinique va-t-elle s’imprégner des pollutions électromagnétiques ? Le rayonnement émis est plus ou moins fort, plus ou moins fractal. L’incidence est fonction de l’absorption, c’est-à-dire de longueur d’ondes : courte ou longue ; du temps d’exposition plus ou moins long
La longueur d’ondes va frapper plus ou moins violemment les corps exposés. Comme les ondes passent au travers des tissus, elles vont se fractionner comme un rayonnement de lumière peut le faire en passant au travers d’un prisme. Il y aura donc des réfléchissements successifs et permanents. Si la longueur d’ondes est longue, très longue, elle ne fait que traverser le corps, elle ne fait qu’un dommage tubulaire en manchon dans son sillage. Ce n’est pas pour autant que le résultat sera négatif, mais il peut l’être, car cela peut provoquer de très importantes ruptures dans les structures protéiniques. Les longueurs d’ondes vont tout simplement plus ou moins disloquer l’état protéinique dans sa partie volumique et cristalline. Cela va sculpter, déformer la structure cristalline de la protéine. On retrouve les lois habituelles de physique d’absorption des radiations dans la matière. Si l’impact se situe à côté, il n’y a rien, si ça tape dans la fenêtre, il y aura des effets secondaires. Si la longueur d’ondes est courte, elle va se dysfractionner et aller dans tous les sens, donc se répercuter au niveau de la partie cristalline qu’elle va dysfractionner, déformer, mais également des conséquences au niveau cellulaire après avoir déformé plus ou moins l’ensemble, créant un morcèlement protéinique. Ces dysfractionnements vont générer des réarrangements des couches azotiques, des couches oligoélémentaires. Les aminoacides vont se recomposer différemment. Les photons vont entraîner des conséquences sur l’excitabilité, créer une énergie plus ou moins importante, plus ou moins heureuse, suivant les lois d’absorption de la matière. Si les longueurs d’ondes sont importantes, il n’y aura qu’un passage mais lequel va dégrader, entraîner des déperditions des qualités cristallines avec des fuites, on va perdre des protons des atomes d’azote, des protons des atomes de carbone. On va ainsi appauvrir rapidement la partie protéinique, laquelle va se décomposer pour se recomposer aussitôt mais d’une nouvelle manière.
L’intensité va jouer énormément. Plus elle est importante, plus elle fera disparaître l’épaisseur volumique de la matière. Elle va réduire l’émission du substrat, ralentir l’exécution des gènes. Plus le temps d’exposition va être important, plus on va affaiblir, plus on va carencer. On va alors se retrouver en face d’un sujet qui sera en manque de nourriture. Il pourra manger des quantités énormes, l’échange ne s’effectuera pas. On pourra se retrouver en face de distorsions plus ou moins permanentes. C’est ce qu’on peut observer sur les sujets régulièrement soumis à des émissions radars. C’est pourquoi, il est vraisemblable qu’on observera un vieillissement beaucoup plus rapide chez les cosmonautes que dans le reste de la population. Il n’y a pas que les effets secondaires des radars, il y a aussi des émissions de la cage de Faraday des émissions rayonniques du type champ neutre. Cela se conjugue avec les émissions terrestres qui existent en tous lieux. Des flux de neutrons et de particules sortent de la terre, cela forme des réseaux, ils sont variables et non fixes comme on le pense trop souvent (réseau Hartmann, etc.).
Les téléphones, notamment portables, vont aussi plus ou moins agir selon les sujets. Certains sujets vont mieux résister que d’autres. Le temps d’exposition joue énormément : quelques minutes par jour, cela est sans grande importance. Par contre, des heures d’exposition seront beaucoup plus dangereuses. A la pollution électromagnétique de type naturel permanent ou non s’ajoutent des pollutions d’origine humaine, on ne peut pas y échapper. Le rayonnement naturel du soleil ou de la lune va jouer sur le milieu protéinique. Il en résulte certains problèmes pour supporter la lumière. Par exemple, l’émission lunaire va induire des réactions chimiques au niveau protéinique, notamment exciter le système auto-immun. Cela est bien prouvé pour la germination des graines, mais aussi sur les naissances humaines qui s’effectuent préférentiellement à la pleine lune. On observe aussi une acmé d’accouchements à l’heure de midi, pourquoi ? Parce que le rayonnement est plus intense à ce moment-là ou en fin de soirée, au coucher du soleil, parce que la masse protéinique étant plus sollicitée génère une plus grande excitabilité des tissus. Cela va créer un rejet de tout ce qu’il y a à l’intérieur, d’où les spasmes et les contractions.
Effectuons un parallèle : il y a un moment favorable de l’échange entre chaque médicament et l’organisme. Par exemple, huit heures du matin est plus toxique que vingt heures pour la novocaïne. Il en faut deux fois moins si on l’utilise à vingt heures que si on la prend à huit heures. Si on prend la même dose à 8 h qu’à 20 h, on en prend deux fois plus, donc elle est plus toxique et, éventuellement, la toxicité dépasse l’action pharmacologique. Il vaut mieux en mettre deux fois moins que deux fois plus pour avoir une meilleure action.
Dans la première partie du cycle lunaire, en lune ascendante, la partie protéinique va avoir un développement, une croissance donnée. Elle va accepter un apport quelconque. En partie lunaire décroissante, elle va rejeter cet apport, voire créer une allergie. C’est la même chose pour la journée, au lever et au coucher, tout va dépendre du milieu ambiant. Si on oblige un sujet à travailler dans un milieu où règne une pollution électromagnétique intense, il a deux chances sur quatre de développer une allergie. S’il prend ses médicaments le soir, au lit, il va mieux les supporter, sachant que l’ingestion du produit mettra douze ou vingt quatre heures, voire quarante-huit heures à se réaliser.
Si on utilise des courants de haute fréquence avec des générateurs à longueurs d’ondes multiples, type appareils de Lakhovsky, il y a lieu surtout d’observer l’évolution. On a, avec certains, des résultats très positifs, mais sur l’ensemble des cas, une action aléatoire. Si on augmente la différence de potentiel utilisant des générateurs qui atteignent 80 000 Volts (au lieu de 18 000 dans la majorité des cas), on peut observer des effets opposés. Certains sujets plongent dans un état de léthargie, ont envie de dormir, alors que d’autres sujets ont une réaction inverse, ils ressentent immédiatement des effets bénéfiques, cela les excite et leur rend service alors que chez les autres, l’effet est inverse. Il faudrait donc mesurer la longueur d’ondes spécifique de chaque sujet, ce que l’on se sait pas faire actuellement. Sur les sujets atteints de tendinites, d’arthroses, des différentes somatisations, l’apport énergétique généré par ces appareils est semblable à la recharge d’une batterie électrique car on utilise des phénomènes de résonance mais l’intensité de l’apport reste très faible. Il faut donc trouver la bonne longueur d’ondes qui s’adapte sinon la masse protéinique peut prendre des chemins désagréables pour le sujet. C’est la réalité des faits qui s’impose, il faut toujours regarder, observer et réfléchir.