On ne prĂȘte plus guĂšre attention Ă la symptomatologie clinique notamment aux odeursă: câest-Ă -dire aux gaz Ă©mis par le corps.
Cependant vous savez quâun enfant dont lâhaleine est teintĂ©e dâune odeur de pomme de reinette ou de bonbons anglais acidulĂ©s risque dâĂȘtre diabĂ©tique. Câest un signal quâil ne faut pas mĂ©sestimer. Il est carencĂ© et Ă surveiller.
Lorsquâil nây a plus rien Ă manger il faut puiser dans les rĂ©serves, câest ainsi que fonctionne le mĂ©tabolisme cellulaire. Lorsque les provisions sont insuffisantes pour compenser les pertes, on se retrouve rapidement dans une position dâhypoglycĂ©mie. Cela entraĂźne la pĂąmoison, les lipothymies jusquâau coma.
Quâil sâagisse dâune hypo ou dâune hyperglycĂ©mie, les corps cĂ©toniques sont lĂ pour nous montrer une production du mĂ©tabolisme qui tourne dans le vide aprĂšs avoir Ă©puisĂ© les rĂ©serves de glucose. Les corps cĂ©toniques sont Ă©jectĂ©s soit par les urines â oĂč ils sont amenĂ©s par la voie sanguine â soit par les fĂšces ou les autres sorties possibles, par exemple cutanĂ©es.
Les inconvĂ©nients des corps cĂ©toniques sont constituĂ©s par des signes neurologiques, un sentiment de fatigue, la blancheur, la dĂ©coloration de la peau qui vont entraĂźner une pĂąmoison, ce sont lĂ des signes dâhypoglycĂ©mie, qui peuvent aller des pertes de connaissance jusquâau coma, bref le sujet a «ăgrande faimă». Il secrĂšte de lâacide chlorhydrique en excĂšs et cela nâest pas neutralisĂ©. La bile travaille dans le vide aussi le sujet Ă©prouve des nausĂ©es, des «ăhaut-le-cĆură», par contre le PH ne varie pas.
Dans le cas dâhyperglycĂ©mie, oĂč on a une carence totale de la fonction pancrĂ©atique, on arrive rapidement au dĂ©but du coma acido-cĂ©tosique. Une acidose sâinstalle, le PH varie beaucoup.
Les signes de lâacidose sontă: une respiration accĂ©lĂ©rĂ©e, des symptĂŽmes digestifs, la torpeur, la perte rapide de poids et le refus de manger, une anorexie qui ne passe pas. Il y a une perte du potassium.
Lâacidose contrarie la fabrication de lâacide chlorhydrique (HCl)ă: câest un cercle vicieux.
Le traitement est un apport trĂšs important de glucose pour remettre en route la machine mĂ©tabolique mais il faut ajouter de lâinsuline. Lâacidose est semblable, soit courte soit longue, entre 8 et 33 jours, voire 40 jours câest un grand maximum.
Lorsque lâon observe ces faits chez des femmes enceintes ou des diabĂ©tiques, câest que lâapport nutritionnel est insuffisant.
Dans les cas de dĂ©rĂšglements thyroĂŻdiens on observe une hypersĂ©crĂ©tion dâacide chlorhydrique qui crĂ©e une acidose. Le sujet hyperthyroĂŻdien brĂ»le beaucoup trop, cela entraĂźne des spasmes donc une sĂ©crĂ©tion dâHCl et des humeurs particuliĂšres⊠Si lâon effectue un dosage dâHCl, on sâaperçoit quâil est en augmentation, bref on va vers lâacidose. Il y a par exemple chez les gens qui sont trĂšs sportifs des mĂ©langes dâacĂ©tate-chlorate parce quâils sont en augmentation considĂ©rable de leur mĂ©tabolisme et de leur sĂ©crĂ©tion thyroĂŻdienne.
Dans lâhypoglycĂ©mie, on a une hypersĂ©crĂ©tion du pancrĂ©as qui entraĂźne une inflammation. Cela va virer jusquâĂ la pancrĂ©atite, câest bien lĂ le danger.
Il ne faut pas emballer la machine pancrĂ©atique et faire de telle sorte que les Ăźlots de LANGERHANS ne soient pas en excĂšs de fabrication. Pour cela il y a une seule solution, câest un cloisonnement que lâon peut effectuer par les mĂ©taux en doses homĂ©opathiques.
Il y a lieu dâinitier un mouvement dâĂ©puration perpĂ©tuel, indĂ©pendamment du systĂšme digestif, par les mĂ©taux, les sulfamides et lâeucalyptus, parce que les sujets ont consommĂ© beaucoup trop de saccharose. Ce sucre artificiel est trĂšs long Ă vidanger, Ă faire sortir des cellules et Ă Ă©liminer, câest la pathologie la plus frĂ©quemment rencontrĂ©e. Il faut des mois et des mois pour obtenir une Ă©puration correcte, Ă la condition absolue dâarrĂȘter toute ingestion nouvelle de saccharose.
Un hyper glycĂ©mique nâa pas un taux constant, il ne fait quâentasser au niveau cellulaire. Lâeucalyptus et les sulfamides sont hyperglycĂ©miants, tandis que lâinsuline est hypoglycĂ©miante, de fait les sujets sous insuline vont accĂ©lĂ©rer leur digestion. Si on ne met pas un plĂątrage, un vĂ©ritable mortier dans lâestomac, on observe rapidement une inflammation du pancrĂ©as et des canaux de WIRSUNG et de SANTORINI, donc il est indispensable et essentiel de bien sâalimenter.
Venons â en maintenant aux cinq origines des corps cĂ©toniquesă
:
Ils rĂ©sultent du mĂ©tabolisme des glucides, des lipides et des protĂ©ines câest-Ă -dire de la consommation des produits ingĂ©rĂ©s.
Les principaux corps sontă: acĂ©to-acĂ©tique, acĂ©to-butyrique, acĂ©to-bĂ©ta-hydroxy-butyrique.
Il nây a pas de dĂ©rivĂ© phĂ©nyl. On observe soit un acĂ©tate activĂ© soit un acĂ©tate basique qui va attaquer son propre lieu de formation câest-Ă -dire le foie.
Le chlorate dâacĂ©tate ammoniacal est extrĂȘmement toxique, il est obtenu par fermentation.
Lâammoniac (NH3) se trouve soit au niveau du colon, soit dans un acĂ©tate ammoniacal créé par un ammoniac bilieux hyper oxydant, donc une hyper rĂ©duction est possible.
LâoxygĂšne est rapidement consommĂ©, cela gĂ©nĂšre la dĂ©composition des cellules hĂ©patiques. Lâhypo oxydation enlĂšve rapidement lâoxygĂšne des cellules hĂ©patiques or, sans oxygĂšne, les hĂ©patocytes, qui renferment beaucoup de fer puisque la coloration du foie correspond Ă un fer ferrique, on observe alors un ferrite essentiel. A ce moment-lĂ , il y a gonflement des cellules hĂ©patiques, des odeurs dâhaleine fĂ©tides et des perceptions dâodeurs cĂ©toniques Ă lâextĂ©rieur du sujet, dans lâhaleine notamment.
Les crises cĂ©toniques sont diffĂ©rentes, il y a en plus lâammoniac parce que la digestion est tout Ă fait diffĂ©rente.
Câest pourquoi il ne faut absolument pas consommer de saccharoseă! Par contre chez lâenfant, il faut souligner la nĂ©cessitĂ© dâabsorption de graisses qui rentrent dans la constitution de nos cellules et dans la constitution des gaines de myĂ©line. Cette consommation de lipides est beaucoup plus dangereuse chez lâadulte, notamment aprĂšs 60 ans (dĂ©pĂŽts et calcifications artĂ©riellesâŠ)
Sâil y a un manque de fer, le PH augments, le fer apportĂ© se cumule, se dĂ©compose et lâon voit apparaĂźtre du manganĂšse et de lâammoniac (NH4). Dans les autres cas de production de corps cĂ©toniques, si on amĂšne des glucides lents on rĂšgle le problĂšme, câest souligner lâimportance des habitudes alimentaires hygiĂ©niques, on rĂšgle le problĂšme par une alimentation lente, il ne faut pas de pain blanc (jamais la baguette parisienne) car il nous gonfle (ce nâest que de lâamidon) et lâon a des difficultĂ©s Ă la sortie. Il faut au contraire consommer exclusivement un pain gris, un pain assez complet.
Dans les autres cas dâodeurs cĂ©toniques de lâhaleine, lâenfant a faimă: il y a un manque dâalimentation car tout a Ă©tĂ© consommĂ©. Câest pourquoi il faut Ă nouveau souligner lâimportance des glucides lents dans lâalimentation.
Un autre cas de figure se situe lorsquâil y a une infiltration aqueuse. Si cela se produit au cours de lâadolescence, on peut retrouver un sujet grabataire Ă 30 ansă! Quand on observe de la cellulite au plan clinique, câest dĂ©jĂ trop tard.
Cette prise dâeau sâeffectue au moment de la croissance, câest-Ă -dire au cours du dĂ©veloppement hormonal, quâil sâagisse dâun garçon ou dâune fille, cette prise dâeau est essentiellement due au saccharose en premier chef. Câest lui qui pousse Ă des phĂ©nomĂšnes hormonaux dĂ©testables. Il suffit dâune prise trĂšs lĂ©gĂšre de saccharose, le poids dâune plume serait suffisant lorsquâil est associĂ© dans les confiseries Ă des conservateurs particuliĂšrement nĂ©fastes, Ă ce moment-lĂ pour dĂ©clencher ces phĂ©nomĂšnes de rĂ©tention dâeau, lesquels vont entraĂźner tous les dĂ©sordres immunitaires possibles, parfois irrĂ©versibles, gĂ©nĂ©rateurs de cancers, lymphomes, lymphopĂ©nies, etc.
Les cinq catĂ©gories de corps acĂ©toniquesă: 1) AcĂ©tate chlorhydrique ou chlorate dâacĂ©tateă: Il a lâodeur de pommes pourries.
(CHÂł - CO) â OH acĂ©tate
(CHÂł - CO) â Cl chlorate
La digestion est rapide, le sujet consume intĂ©gralement les aliments, la consommation digestive sâeffectue donc suivant une voie rapide.
On rencontre cette forme chez les enfants qui se dépensent physiquement. Ils oublient de manger. Cela arrive aussi chez les adultes, notamment chez les hyperthyroïdiens, hypersurrénaliens, hyperthymiques et certains diabÚtes fonctionnels.
La caractĂ©ristiqueă: ils conservent la vitalitĂ©, la physiologie de dĂ©veloppement, bref la biologie cellulaire, aussi leur croissance est-elle normale.
Le dangeră: si la nourriture est insuffisante en sucres lents il y a des poussĂ©es incontrĂŽlĂ©es, si par contre les sucres lents sont donnĂ©s en quantitĂ©s suffisantes et rĂ©guliĂšrement, le problĂšme va se rĂ©gulariser sans traitement, sinon on passe au cas suivant n°2.
2) AcĂ©tate carbonatĂ©ă: (CHÂł - CO) â COÂł
Câest un rĂ©ducteur dâoxydation. Le foie se dĂ©sagrĂšge par formation dâun hyper oxyde et cela va crĂ©er une rĂ©tention hydrique donc un excĂšs de poids.
Cette situation se rencontre chez les obÚses, les diabÚtes gras, les lymphatiques et toutes les déficiences immunitaires.
LâinconvĂ©nient principal câest la transformation en maladies endocriniennes, la genĂšse des maladies immunitaires, si rien nâest faită: câest la base de tous les dĂ©sordres hĂ©patiques et de toutes les sclĂ©roses, mais Ă©galement des sclĂ©roses amyotrophiques et autres.
Lâodeur est alors lĂ©gĂšrement ammoniaquĂ©e.
3) AcĂ©tate de carbonate pour moitiĂ© et acĂ©tate dâammoniac pour moitiĂ©ă: Ce qui va donner une odeur ammoniacale et grasse.
(CHÂł - CO) - COÂł ou (CHÂł - CO) â NHÂČ
Chez ceux qui sont devenus trĂšs obĂšses, on observe des dĂ©ficiences ou des carences alimentaires graves, les digestions bilieuses insuffisantes, il y a manquĂ© de fer notamment chez les alcooliques, aussi observe-t-on lâapparition dans ces cas de figures de cirrhoses grasses ou sĂšches ou hĂ©patiques diverses.
LâinconvĂ©nient est le dĂ©veloppement de maladies auto-immunes de types sclĂ©rose en plaques ou de sclĂ©roses amyotrophiques trĂšs Ă©volutives.
4) Acétate de phosphate ammoniaqué
(CHÂł - CO) - POÂł ou (CHÂł - CO) - NHÂł
Cette situation sâobserve chez les neurologiques, ils ont des odeurs de souffre parce que le phosphore et lâammoniac (NHÂł) donnent des odeurs de souffre. Ce sont des souffreteux aigus, des sujets ĂągĂ©s, masculins ou fĂ©minins, acariĂątres, hypersouffrĂ©s et fort dessĂ©chĂ©s. Parfois mĂȘme ce sont des hommes et des femmes qui vivent en couple, sans relation.
On observe des problĂšmes inflammatoires mais aussi des phĂ©nomĂšnes de stĂ©noses pĂ©niens, ovariens, des dĂ©sĂ©quilibres immunologiques extrĂȘmement organisĂ©s. On peut voir une rĂ©traction du pĂ©nis, une sclĂ©rose du plancher pelvien principal, des douleurs mĂ©tamĂ©riques au niveau des hanches⊠par remaniement de la trame osseuse.
5) AcĂ©tate de sulfate potassiqueă: (CHÂł - CO) - SOÂł ou (CHÂł - CO) â K
Ces sujets Ă©mettent des odeurs trĂšs fortes dâeau de Javel, ils sont blancs, dĂ©lavĂ©s, ils ont un tempĂ©rament fĂ©roce avec des humeurs toujours agressives, particuliĂšrement vives. Leur dĂ©minĂ©ralisation est facile, tout cela souligne un dĂ©rĂšglement hypophysaire endocrinien.
Ces sujets sont toujours infectés parce que leur terrain est particuliÚrement infectable, ils prennent rapidement des évolutions épidémiques ou pandémiques, aussi finissent-ils assez rapidement.
Les cinq types dĂ©crits se rejoignent du numĂ©ro 1 au numĂ©ro 5ă: on peut parfaitement produire de lâacĂ©tone sans faire de diabĂšte. Le dĂ©nominateur commună: ces dĂ©viances mĂ©taboliques prennent leur source lors de la croissance, entre 7 et 15 ans.
Cela explique la dégénérescence des populations notamment aux Etats-Unis.
Lâadolescence est un pĂ©riode de rĂ©volte de lâenfant par rapport Ă lui-mĂȘme, et Ă ses parents. Ainsi le romantisme est nĂ© qui a donnĂ© lieu Ă lâĂ©closion de la maladie tuberculinique. Une bande dâimbĂ©ciles voulaient se promener nus la nuit, sous un drap mouillĂ©, pour avoir une peau plus blanche parce que sous lâinfluence des rayons de la lune on observait un blanchissementă! Cela a entraĂźnĂ© des dĂ©veloppements violents explosifs de tuberculose, qui se transmettait de bouche Ă bouche⊠Les mycobactĂ©riums subissaient des mutations rapides et la tuberculose devenait de plus en plus mortelle.
Si lâenfant, au cours de sa croissance, rencontre des problĂšmes alimentaires, sa vie en sera dĂ©finitivement handicapĂ©e. Câest lĂ le premier carrefour quoique lâon dise, quoique lâon fasse, quoique lâon pense.
Si lâon donne des rĂ©gimes hyper salĂ©s ou des conservateurs, on nâarrange rien. Par exemple, si on donne Ă un nourrisson une quantitĂ© de quinine suffisante, on observera Ă lâadolescence le dĂ©veloppement dâun rachitisme.
Si on lui a donnĂ© de lâaspirine, on observera Ă lâadolescence des problĂšmes cardiovasculaires avec des tensions Ă©normes.
Si on lui a donnĂ© beaucoup de mycĂ©lium, câest-Ă -dire beaucoup dâantibiotiques, tout le tissu auto-immun sera clairsemĂ©, il fera des acĂ©tates de sulfate de potassium, sans quâon puisse sâen apercevoir, le problĂšme se dĂ©veloppe insidieusement.
Si lâenfant subit des vaccinations multiples, on entraĂźne une sĂ©rie de changements de terrain dĂšs le dĂ©part aussi on va ajuster un mauvais tir et modifier la dĂ©fense immunologique du sujet, lâaffaiblir.
Tant quâil y a de lâeau en excĂšs, (mĂȘme 1 gramme suffirait), on garde toujours une inquiĂ©tude permanente sur lâavenir du sujet. Les femmes prĂ©sentant de la cellulite font partie de ce systĂšme.
Il ne faut pas confondre absence et excĂšs dâeau. Lâabsence empĂȘche la circulation, donc la digestion.
Si les parents sont eux-mĂȘmes en excĂšs dâeau, il nây a pas de transmission gĂ©nĂ©tique.
Sâil nây a pas de rĂ©serves de lipides, lâĂ©puisement du sujet est trĂšs rapide.
A ce sujet, la femme a une consommation plus beaucoup plus importante de lipides que lâhomme Ă©tant donnĂ© lâallaitement, les menstrues et les accouchementsă: cette rĂ©serve de graisse va lui permettre de se ressourcer, sinon elles sont fragiles.
Câest pourquoi les matrones ont toujours de la graisse, les cultivatrices ont aussi une panicule adipeuse suffisante sinon la fatigabilitĂ© est considĂ©rable.
Un homme qui fait de la graisse prend une posture fĂ©minine. Il va de plus en plus sâadjoindre de la graisse⊠mĂȘme avec des saignĂ©es on nâarrange pas la choseă!
AprĂšs 80 Ă 90 kg pour une taille normale, on observe des dĂ©faillances. Pour un homme de 1m75, le poids maximal est de 85 Ă 88kg. La norme en gros est de 10kg en plus par rapport Ă la marge dĂ©passĂ©e du mĂštre, câest la norme la plus facile Ă retenir pour dĂ©finir lâobĂ©sitĂ©.
Pour une femme, selon ses grossesses et ses difficultés, à 1m50, elle doit peser entre 50 et 65kg.
LâacĂ©tate disparaĂźt au cours de la digestion, suite Ă lâaction des enzymes, il se transforme en COÂČ et HÂČO, mais les enzymes sont altĂ©rĂ©es Ă partir des catĂ©gories n°3 et n°4. Les catĂ©gories n°1 et 2 sont des stades rĂ©versibles, il nây a donc pas dâaltĂ©ration. LâaltĂ©ration commence au niveau du foie chez le sujet de type n°2, mais il se rĂ©gĂ©nĂšre. Pratiquement, il lui faut se rĂ©gĂ©nĂ©rer deux fois lâan sinon il serait usĂ© au bout de cinq ans.
Le rĂŽle du feră: les femmes qui ont eu des enfants sont carencĂ©es en fer, cela sâobserve de façon systĂ©matique. Il faut absolument complĂ©ter lâapport en fer des femmes surtout aprĂšs les grossesses.
Le problÚme se pose aux environs de la ménopause. Plus on approche, plus les cycles deviennent longs. Elles prennent du poids, perdent plus de sang, aussi il leur faut prendre plus de fer, ce qui est sans aucun problÚme.
La partie utĂ©rine se relĂąche, cela donne un Ă©paississement de lâendomĂštre et une involution utĂ©rineă; tant quâelle nâest pas finie, il y a des pertes. Plus la mĂ©nopause approche et plus elles sont irritables, car cela les fatigue.
Le surplus de pertes de sang a pour consĂ©quence quâelles usent leurs capacitĂ©s ferriques. IL faut leur donner du fer sous des formes diffĂ©rentes, Ă des dosages variables mais aussi du magnĂ©sium qui va aider la partie utĂ©rine, ce qui raccourcit le cycle et permet dâĂ©voluer vers la mĂ©nopause.
Câest un cap difficile Ă passer parce quâelles sont souvent mal accompagnĂ©es. Il faut donc prendre beaucoup de fer pendant les pertes, et un apport important de magnĂ©sium. Penser aussi Ă une homĂ©opathie bien adaptĂ©e.
Une bonne mĂ©nopause se dĂ©roule entre 40 et 55 ans. Plus on tarde, plus le systĂšme hormonal affaiblit le tissu osseuxă: plus la mĂ©nopause est lointaine et plus le tissu osseux est affaiblie, plus on a une mĂ©nopause prĂ©coce et plus on renforce le tissu osseux.
Plus le tissu osseux se refait, et cela se passe dans les cycles lunaires, plus il devient résistant.
Le systĂšme hormonal nâest plus identique aprĂšs 40 ans. La femme nâa plus la capacitĂ© immunitaire de rĂ©sister. A 20 ans, lâenfant est beaucoup plus rĂ©sistant et plus vĂ©loce, Ă 40 ans, lâenfant mis au monde est dĂ©jĂ un vieil enfant. Il serait donc souhaitable que les femmes portent jeune leurs enfants, dĂšs 14 â 15 ans, mais câest une conception biologique qui n e tient pas compte des us et coutumes actuels.
La procrĂ©ation des femmes ĂągĂ©es a des consĂ©quences nĂ©gatives destructrices. A 60 ans une mĂšre ne pourra plus Ă©lever son enfant, câest une conception pathologique.