LE PASSSEUR

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Professeur Bernard Herzog - Médecine et Thérapies du Futur Connaissances et recherches pour améliorer Votre Santé et Votre Vie


Attention aux odeurs des corps cétoniques : Signal d'alarme

Publié par Bernard Herzog sur 23 Janvier 2012, 20:06pm

Catégories : #Le Thérapeute

4966514105_034282287d.jpgOn ne prĂȘte plus guĂšre attention Ă  la symptomatologie clinique notamment aux odeurs : c’est-Ă -dire aux gaz Ă©mis par le corps.

Cependant vous savez qu’un enfant dont l’haleine est teintĂ©e d’une odeur de pomme de reinette ou de bonbons anglais acidulĂ©s risque d’ĂȘtre diabĂ©tique. C’est un signal qu’il ne faut pas mĂ©sestimer. Il est carencĂ© et Ă  surveiller.

Lorsqu’il n’y a plus rien Ă  manger il faut puiser dans les rĂ©serves, c’est ainsi que fonctionne le mĂ©tabolisme cellulaire. Lorsque les provisions sont insuffisantes pour compenser les pertes, on se retrouve rapidement dans une position d’hypoglycĂ©mie. Cela entraĂźne la pĂąmoison, les lipothymies jusqu’au coma.

5389411177_892431487c.jpgQu’il s’agisse d’une hypo ou d’une hyperglycĂ©mie, les corps cĂ©toniques sont lĂ  pour nous montrer une production du mĂ©tabolisme qui tourne dans le vide aprĂšs avoir Ă©puisĂ© les rĂ©serves de glucose. Les corps cĂ©toniques sont Ă©jectĂ©s soit par les urines – oĂč ils sont amenĂ©s par la voie sanguine – soit par les fĂšces ou les autres sorties possibles, par exemple cutanĂ©es.

Les inconvĂ©nients des corps cĂ©toniques sont constituĂ©s par des signes neurologiques, un sentiment de fatigue, la blancheur, la dĂ©coloration de la peau qui vont entraĂźner une pĂąmoison, ce sont lĂ  des signes d’hypoglycĂ©mie, qui peuvent aller des pertes de connaissance jusqu’au coma, bref le sujet a « grande faim ». Il secrĂšte de l’acide chlorhydrique en excĂšs et cela n’est pas neutralisĂ©. La bile travaille dans le vide aussi le sujet Ă©prouve des nausĂ©es, des « haut-le-cƓur », par contre le PH ne varie pas.

Dans le cas d’hyperglycĂ©mie, oĂč on a une carence totale de la fonction pancrĂ©atique, on arrive rapidement au dĂ©but du coma acido-cĂ©tosique. Une acidose s’installe, le PH varie beaucoup.

 3835380668_d105f68202.jpgLes signes de l’acidose sont : une respiration accĂ©lĂ©rĂ©e, des symptĂŽmes digestifs, la torpeur, la perte rapide de poids et le refus de manger, une anorexie qui ne passe pas. Il y a une perte du potassium.

L’acidose contrarie la fabrication de l’acide chlorhydrique (HCl) : c’est un cercle vicieux.

Le traitement est un apport trĂšs important de glucose pour remettre en route la machine mĂ©tabolique mais il faut ajouter de l’insuline. L’acidose est semblable, soit courte soit longue, entre 8 et 33 jours, voire 40 jours c’est un grand maximum.

Lorsque l’on observe ces faits chez des femmes enceintes ou des diabĂ©tiques, c’est que l’apport nutritionnel est insuffisant.

Dans les cas de dĂ©rĂšglements thyroĂŻdiens on observe une hypersĂ©crĂ©tion d’acide chlorhydrique qui crĂ©e une acidose. Le sujet hyperthyroĂŻdien brĂ»le beaucoup trop, cela entraĂźne des spasmes donc une sĂ©crĂ©tion d’HCl et des humeurs particuliĂšres
 Si l’on effectue un dosage d’HCl, on s’aperçoit qu’il est en augmentation, bref on va vers l’acidose. Il y a par exemple chez les gens qui sont trĂšs sportifs des mĂ©langes d’acĂ©tate-chlorate parce qu’ils sont en augmentation considĂ©rable de leur mĂ©tabolisme et de leur sĂ©crĂ©tion thyroĂŻdienne.

Dans l’hypoglycĂ©mie, on a une hypersĂ©crĂ©tion du pancrĂ©as qui entraĂźne une inflammation. Cela va virer jusqu’à la pancrĂ©atite, c’est bien lĂ  le danger.

2093368235_79204e055c.jpgIl ne faut pas emballer la machine pancrĂ©atique et faire de telle sorte que les Ăźlots de LANGERHANS ne soient pas en excĂšs de fabrication. Pour cela il y a une seule solution, c’est un cloisonnement que l’on peut effectuer par les mĂ©taux en doses homĂ©opathiques.

Il y a lieu d’initier un mouvement d’épuration perpĂ©tuel, indĂ©pendamment du systĂšme digestif, par les mĂ©taux, les sulfamides et l’eucalyptus, parce que les sujets ont consommĂ© beaucoup trop de saccharose. Ce sucre artificiel est trĂšs long Ă  vidanger, Ă  faire sortir des cellules et Ă  Ă©liminer, c’est la pathologie la plus frĂ©quemment rencontrĂ©e. Il faut des mois et des mois pour obtenir une Ă©puration correcte, Ă  la condition absolue d’arrĂȘter toute ingestion nouvelle de saccharose.

Un hyper glycĂ©mique n’a pas un taux constant, il ne fait qu’entasser au niveau cellulaire. L’eucalyptus et les sulfamides sont hyperglycĂ©miants, tandis que l’insuline est hypoglycĂ©miante, de fait les sujets sous insuline vont accĂ©lĂ©rer leur digestion. Si on ne met pas un plĂątrage, un vĂ©ritable mortier dans l’estomac, on observe rapidement une inflammation du pancrĂ©as et des canaux de WIRSUNG et de SANTORINI, donc il est indispensable et essentiel de bien s’alimenter.

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Venons – en maintenant aux cinq origines des corps cĂ©toniques 

:

Ils rĂ©sultent du mĂ©tabolisme des glucides, des lipides et des protĂ©ines c’est-Ă -dire de la consommation des produits ingĂ©rĂ©s.

Les principaux corps sont : acéto-acétique, acéto-butyrique, acéto-béta-hydroxy-butyrique.

Il n’y a pas de dĂ©rivĂ© phĂ©nyl. On observe soit un acĂ©tate activĂ© soit un acĂ©tate basique qui va attaquer son propre lieu de formation c’est-Ă -dire le foie.

Le chlorate d’acĂ©tate ammoniacal est extrĂȘmement toxique, il est obtenu par fermentation.

L’ammoniac (NH3) se trouve soit au niveau du colon, soit dans un acĂ©tate ammoniacal créé par un ammoniac bilieux hyper oxydant, donc une hyper rĂ©duction est possible.

L’oxygĂšne est rapidement consommĂ©, cela gĂ©nĂšre la dĂ©composition des cellules hĂ©patiques. L’hypo oxydation enlĂšve rapidement l’oxygĂšne des cellules hĂ©patiques or, sans oxygĂšne, les hĂ©patocytes, qui renferment beaucoup de fer puisque la coloration du foie correspond Ă  un fer ferrique, on observe alors un ferrite essentiel. A ce moment-lĂ , il y a gonflement des cellules hĂ©patiques, des odeurs d’haleine fĂ©tides et des perceptions d’odeurs cĂ©toniques Ă  l’extĂ©rieur du sujet, dans l’haleine notamment.

Les crises cĂ©toniques sont diffĂ©rentes, il y a en plus l’ammoniac parce que la digestion est tout Ă  fait diffĂ©rente.

C‘est pourquoi il ne faut absolument pas consommer de saccharose ! Par contre chez l’enfant, il faut souligner la nĂ©cessitĂ© d’absorption de graisses qui rentrent dans la constitution de nos cellules et dans la constitution des gaines de myĂ©line. Cette consommation de lipides est beaucoup plus dangereuse chez l’adulte, notamment aprĂšs 60 ans (dĂ©pĂŽts et calcifications artĂ©rielles
)

S’il y a un manque de fer, le PH augments, le fer apportĂ© se cumule, se dĂ©compose et l’on voit apparaĂźtre du manganĂšse et de l’ammoniac (NH4). Dans les autres cas de production de corps cĂ©toniques, si on amĂšne des glucides lents on rĂšgle le problĂšme, c’est souligner l’importance des habitudes alimentaires hygiĂ©niques, on rĂšgle le problĂšme par une alimentation lente, il ne faut pas de pain blanc (jamais la baguette parisienne) car il nous gonfle (ce n’est que de l’amidon) et l’on a des difficultĂ©s Ă  la sortie. Il faut au contraire consommer exclusivement un pain gris, un pain assez complet.

Dans les autres cas d’odeurs cĂ©toniques de l’haleine, l’enfant a faim : il y a un manque d’alimentation car tout a Ă©tĂ© consommĂ©. C’est pourquoi il faut Ă  nouveau souligner l’importance des glucides lents dans l’alimentation.

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Un autre cas de figure se situe lorsqu’il y a une infiltration aqueuse. Si cela se produit au cours de l’adolescence, on peut retrouver un sujet grabataire Ă  30 ans ! Quand on observe de la cellulite au plan clinique, c’est dĂ©jĂ  trop tard.

Cette prise d’eau s’effectue au moment de la croissance, c’est-Ă -dire au cours du dĂ©veloppement hormonal, qu’il s’agisse d’un garçon ou d’une fille, cette prise d’eau est essentiellement due au saccharose en premier chef. C’est lui qui pousse Ă  des phĂ©nomĂšnes hormonaux dĂ©testables. Il suffit d’une prise trĂšs lĂ©gĂšre de saccharose, le poids d’une plume serait suffisant lorsqu’il est associĂ© dans les confiseries Ă  des conservateurs particuliĂšrement nĂ©fastes, Ă  ce moment-lĂ  pour dĂ©clencher ces phĂ©nomĂšnes de rĂ©tention d’eau, lesquels vont entraĂźner tous les dĂ©sordres immunitaires possibles, parfois irrĂ©versibles, gĂ©nĂ©rateurs de cancers, lymphomes, lymphopĂ©nies, etc.

 

Les cinq catĂ©gories de corps acĂ©toniques : 1) AcĂ©tate chlorhydrique ou chlorate d’acĂ©tate : Il a l’odeur de pommes pourries.

(CHÂł - CO) – OH acĂ©tate

(CH³ - CO) – Cl chlorate

La digestion est rapide, le sujet consume intĂ©gralement les aliments, la consommation digestive s’effectue donc suivant une voie rapide.

On rencontre cette forme chez les enfants qui se dépensent physiquement. Ils oublient de manger. Cela arrive aussi chez les adultes, notamment chez les hyperthyroïdiens, hypersurrénaliens, hyperthymiques et certains diabÚtes fonctionnels.

La caractéristique : ils conservent la vitalité, la physiologie de développement, bref la biologie cellulaire, aussi leur croissance est-elle normale.

Le danger : si la nourriture est insuffisante en sucres lents il y a des poussĂ©es incontrĂŽlĂ©es, si par contre les sucres lents sont donnĂ©s en quantitĂ©s suffisantes et rĂ©guliĂšrement, le problĂšme va se rĂ©gulariser sans traitement, sinon on passe au cas suivant n°2.

 

2) AcĂ©tate carbonaté : (CHÂł - CO) – COÂł

C’est un rĂ©ducteur d’oxydation. Le foie se dĂ©sagrĂšge par formation d’un hyper oxyde et cela va crĂ©er une rĂ©tention hydrique donc un excĂšs de poids.

Cette situation se rencontre chez les obÚses, les diabÚtes gras, les lymphatiques et toutes les déficiences immunitaires.

L’inconvĂ©nient principal c’est la transformation en maladies endocriniennes, la genĂšse des maladies immunitaires, si rien n’est fait : c’est la base de tous les dĂ©sordres hĂ©patiques et de toutes les sclĂ©roses, mais Ă©galement des sclĂ©roses amyotrophiques et autres.

 

L’odeur est alors lĂ©gĂšrement ammoniaquĂ©e.

3) AcĂ©tate de carbonate pour moitiĂ© et acĂ©tate d’ammoniac pour moitié : Ce qui va donner une odeur ammoniacale et grasse.

(CHÂł - CO) - COÂł ou (CHÂł - CO) – NHÂČ

Chez ceux qui sont devenus trĂšs obĂšses, on observe des dĂ©ficiences ou des carences alimentaires graves, les digestions bilieuses insuffisantes, il y a manquĂ© de fer notamment chez les alcooliques, aussi observe-t-on l’apparition dans ces cas de figures de cirrhoses grasses ou sĂšches ou hĂ©patiques diverses.

L’inconvĂ©nient est le dĂ©veloppement de maladies auto-immunes de types sclĂ©rose en plaques ou de sclĂ©roses amyotrophiques trĂšs Ă©volutives.

 

4) Acétate de phosphate ammoniaqué

(CHÂł - CO) - POÂł ou (CHÂł - CO) - NHÂł

Cette situation s’observe chez les neurologiques, ils ont des odeurs de souffre parce que le phosphore et l’ammoniac (NHÂł) donnent des odeurs de souffre. Ce sont des souffreteux aigus, des sujets ĂągĂ©s, masculins ou fĂ©minins, acariĂątres, hypersouffrĂ©s et fort dessĂ©chĂ©s. Parfois mĂȘme ce sont des hommes et des femmes qui vivent en couple, sans relation.

On observe des problĂšmes inflammatoires mais aussi des phĂ©nomĂšnes de stĂ©noses pĂ©niens, ovariens, des dĂ©sĂ©quilibres immunologiques extrĂȘmement organisĂ©s. On peut voir une rĂ©traction du pĂ©nis, une sclĂ©rose du plancher pelvien principal, des douleurs mĂ©tamĂ©riques au niveau des hanches
 par remaniement de la trame osseuse.

 

5) AcĂ©tate de sulfate potassique : (CHÂł - CO) - SOÂł ou (CHÂł - CO) – K

Ces sujets Ă©mettent des odeurs trĂšs fortes d’eau de Javel, ils sont blancs, dĂ©lavĂ©s, ils ont un tempĂ©rament fĂ©roce avec des humeurs toujours agressives, particuliĂšrement vives. Leur dĂ©minĂ©ralisation est facile, tout cela souligne un dĂ©rĂšglement hypophysaire endocrinien.

Ces sujets sont toujours infectés parce que leur terrain est particuliÚrement infectable, ils prennent rapidement des évolutions épidémiques ou pandémiques, aussi finissent-ils assez rapidement.

Les cinq types dĂ©crits se rejoignent du numĂ©ro 1 au numĂ©ro 5 : on peut parfaitement produire de l’acĂ©tone sans faire de diabĂšte. Le dĂ©nominateur commun : ces dĂ©viances mĂ©taboliques prennent leur source lors de la croissance, entre 7 et 15 ans.

Cela explique la dégénérescence des populations notamment aux Etats-Unis.

L’adolescence est un pĂ©riode de rĂ©volte de l’enfant par rapport Ă  lui-mĂȘme, et Ă  ses parents. Ainsi le romantisme est nĂ© qui a donnĂ© lieu Ă  l’éclosion de la maladie tuberculinique. Une bande d’imbĂ©ciles voulaient se promener nus la nuit, sous un drap mouillĂ©, pour avoir une peau plus blanche parce que sous l’influence des rayons de la lune on observait un blanchissement ! Cela a entraĂźnĂ© des dĂ©veloppements violents explosifs de tuberculose, qui se transmettait de bouche Ă  bouche
 Les mycobactĂ©riums subissaient des mutations rapides et la tuberculose devenait de plus en plus mortelle.

3814147215_8a443d52c1.jpgSi l’enfant, au cours de sa croissance, rencontre des problĂšmes alimentaires, sa vie en sera dĂ©finitivement handicapĂ©e. C’est lĂ  le premier carrefour quoique l’on dise, quoique l’on fasse, quoique l’on pense.

Si l’on donne des rĂ©gimes hyper salĂ©s ou des conservateurs, on n’arrange rien. Par exemple, si on donne Ă  un nourrisson une quantitĂ© de quinine suffisante, on observera Ă  l’adolescence le dĂ©veloppement d’un rachitisme.

Si on lui a donnĂ© de l’aspirine, on observera Ă  l’adolescence des problĂšmes cardiovasculaires avec des tensions Ă©normes.

Si on lui a donnĂ© beaucoup de mycĂ©lium, c’est-Ă -dire beaucoup d’antibiotiques, tout le tissu auto-immun sera clairsemĂ©, il fera des acĂ©tates de sulfate de potassium, sans qu’on puisse s’en apercevoir, le problĂšme se dĂ©veloppe insidieusement.

Si l’enfant subit des vaccinations multiples, on entraĂźne une sĂ©rie de changements de terrain dĂšs le dĂ©part aussi on va ajuster un mauvais tir et modifier la dĂ©fense immunologique du sujet, l’affaiblir.

Tant qu’il y a de l’eau en excĂšs, (mĂȘme 1 gramme suffirait), on garde toujours une inquiĂ©tude permanente sur l’avenir du sujet. Les femmes prĂ©sentant de la cellulite font partie de ce systĂšme.

Il ne faut pas confondre absence et excĂšs d’eau. L’absence empĂȘche la circulation, donc la digestion.

Si les parents sont eux-mĂȘmes en excĂšs d’eau, il n’y a pas de transmission gĂ©nĂ©tique.

S’il n’y a pas de rĂ©serves de lipides, l’épuisement du sujet est trĂšs rapide.

A ce sujet, la femme a une consommation plus beaucoup plus importante de lipides que l’homme Ă©tant donnĂ© l’allaitement, les menstrues et les accouchements : cette rĂ©serve de graisse va lui permettre de se ressourcer, sinon elles sont fragiles.

C’est pourquoi les matrones ont toujours de la graisse, les cultivatrices ont aussi une panicule adipeuse suffisante sinon la fatigabilitĂ© est considĂ©rable.

Un homme qui fait de la graisse prend une posture fĂ©minine. Il va de plus en plus s’adjoindre de la graisse
 mĂȘme avec des saignĂ©es on n’arrange pas la chose !

AprĂšs 80 Ă  90 kg pour une taille normale, on observe des dĂ©faillances. Pour un homme de 1m75, le poids maximal est de 85 Ă  88kg. La norme en gros est de 10kg en plus par rapport Ă  la marge dĂ©passĂ©e du mĂštre, c’est la norme la plus facile Ă  retenir pour dĂ©finir l’obĂ©sitĂ©.

Pour une femme, selon ses grossesses et ses difficultés, à 1m50, elle doit peser entre 50 et 65kg.

L’acĂ©tate disparaĂźt au cours de la digestion, suite Ă  l’action des enzymes, il se transforme en COÂČ et HÂČO, mais les enzymes sont altĂ©rĂ©es Ă  partir des catĂ©gories n°3 et n°4. Les catĂ©gories n°1 et 2 sont des stades rĂ©versibles, il n’y a donc pas d’altĂ©ration. L’altĂ©ration commence au niveau du foie chez le sujet de type n°2, mais il se rĂ©gĂ©nĂšre. Pratiquement, il lui faut se rĂ©gĂ©nĂ©rer deux fois l’an sinon il serait usĂ© au bout de cinq ans.

Le rĂŽle du fer : les femmes qui ont eu des enfants sont carencĂ©es en fer, cela s’observe de façon systĂ©matique. Il faut absolument complĂ©ter l’apport en fer des femmes surtout aprĂšs les grossesses.

Le problÚme se pose aux environs de la ménopause. Plus on approche, plus les cycles deviennent longs. Elles prennent du poids, perdent plus de sang, aussi il leur faut prendre plus de fer, ce qui est sans aucun problÚme.

La partie utĂ©rine se relĂąche, cela donne un Ă©paississement de l’endomĂštre et une involution utĂ©rine ; tant qu’elle n’est pas finie, il y a des pertes. Plus la mĂ©nopause approche et plus elles sont irritables, car cela les fatigue.

Le surplus de pertes de sang a pour consĂ©quence qu’elles usent leurs capacitĂ©s ferriques. IL faut leur donner du fer sous des formes diffĂ©rentes, Ă  des dosages variables mais aussi du magnĂ©sium qui va aider la partie utĂ©rine, ce qui raccourcit le cycle et permet d’évoluer vers la mĂ©nopause.

C’est un cap difficile Ă  passer parce qu’elles sont souvent mal accompagnĂ©es. Il faut donc prendre beaucoup de fer pendant les pertes, et un apport important de magnĂ©sium. Penser aussi Ă  une homĂ©opathie bien adaptĂ©e.

Une bonne ménopause se déroule entre 40 et 55 ans. Plus on tarde, plus le systÚme hormonal affaiblit le tissu osseux : plus la ménopause est lointaine et plus le tissu osseux est affaiblie, plus on a une ménopause précoce et plus on renforce le tissu osseux.

Plus le tissu osseux se refait, et cela se passe dans les cycles lunaires, plus il devient résistant.

Le systĂšme hormonal n’est plus identique aprĂšs 40 ans. La femme n’a plus la capacitĂ© immunitaire de rĂ©sister. A 20 ans, l’enfant est beaucoup plus rĂ©sistant et plus vĂ©loce, Ă  40 ans, l’enfant mis au monde est dĂ©jĂ  un vieil enfant. Il serait donc souhaitable que les femmes portent jeune leurs enfants, dĂšs 14 – 15 ans, mais c’est une conception biologique qui n e tient pas compte des us et coutumes actuels.

La procrĂ©ation des femmes ĂągĂ©es a des consĂ©quences nĂ©gatives destructrices. A 60 ans une mĂšre ne pourra plus Ă©lever son enfant, c’est une conception pathologique.

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